Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Mort du Patriarche Teoctist Ier de Roumanie

Le Patriarche Teoctist Ier de Roumanie est mort hier d’un arrêt cardiaque à l’âge de 92 ans.

Le Patriarche Teoctist Ier de Roumanie

Teoctist Ier était devenue le chef de l’Eglise orthodoxe de Roumanie en novembre 1986. Il avait été déposé quelques semaines en 1989 après la chute du régime de Ceaucescu, avant d’être réintégré dans ses fonctions. Le patriarche Teoctist avait alors subi de très violentes attaques, l’opinion générale le considérant comme agent ou collaborateur de la dictature communiste.

Le Pape Jean Paul II et le Patriarche Teoctist Ier de Roumanie

Le Patriarche Teoctist avait invité le Pape jean-Paul II en Roumanie en 1999. Cette visite s’est révélée historique. C’était tout d’abord une première depuis le Grand Schisme de 1054. Le Pape & le Patriarche avaient alors appelé à la guérison des blessures entre les deux poumons de la chrétienté, Orient & Occident. A l’issue de cette visite, le patriarche Teoctist avait confessé qu’il s’était senti abandonné par Dieu pendant les dix années qui s’étaient écoulées entre sa brève déposition & la visite du Pape. Cette humble confession lui avait attiré le respect des Roumains. Le Pape avait ensuite reçu le Patriarche Roumain au Vatican.

Le Pape Jean Paul II et le Patriarche Teoctist Ier de Roumanie

MEMOIRE ETERNELLE !

Programme du Xème dimanche après la Pentecôte

Abbaye d


Saint-Eugène, le dimanche 5 août 2007, grand’messe de 11h.

  • Propre grégorien du jour – Kyriale : Missa XI Orbis factor
  • Procession d’entrée: Orgue
  • Credo I
  • Pendant les encensements de l’offertoire : chant du Dirigatur du IInd ton – faux-bourdon parisien (édition de 1739)
  • Après la Consécration : O salutaris (à la discrétion du chef de chœur, selon les effectifs présents)
  • Pendant la communion : Panis angelicus du 5ème ton, en plain-chant musical – tradition de Langres
  • Prière pour la France, faux-bourdon parisien du 4ème ton (d’après l’édition de 1739)
  • Ite missa est XI
  • Après le dernier Evangile : Inviolata
  • Procession de sortie : Reine de France, priez pour nous, cantique d’Aloys Martin Kunc (1832 † 1895), maître de chapelle des cathédrales d’Auch puis de Toulouse
  • Sainte Marthe

    A Tarascon, dans la Gaule Narbonnaise, sainte Marthe, vierge, hôtesse de notre Sauveur, sœur de sainte Marie Madeleine et de saint Lazare.

    Martyrologe romain, au 29 juillet.

    reliquaire de sainte Marthe

    Reliquaire de sainte Marthe à Tarascon.
    Crédit photographique : Abbé Meissonnier, fssp, juillet 2007.

    Ce magnifique reliquaire n’est que la copie XIXème, en cuivre doré, de celui en or offert par Louis XI à l’insigne collégiale royale Sainte Marthe de Tarascon.

    Louis XI qui avait une grande dévotion pour sainte Marthe lui offrit un superbe buste reliquaire en or massif de 25 kg où l’on plaça son crâne. Qu’est-il devenu ? « en 1793, le conseil municipal contraint d’envoyer à la monnaie de Marseille l’argenterie de l’église, s’efforça d’en excepter le buste d’or, mais il fut obligé de céder aux ordres du district. Personne à ce moment-là ne pensa à retirer du reliquaire le chef de la sainte ni un autre ossement considérable renfermé dans un reliquaire en forme de bras, et ces deux reliques furent perdues par suite d’une imprévoyance. »

    De reliques, il ne reste aujourd’hui à Tarascon que des fragments d’os et un reliquaire qui n’est que la copie de celui offert par Louis XI. En revanche, le bras gauche et la main de Marthe avaient été offerts au prieuré royal de Notre Dame de Cassan au XVème siècle. On peut les vénérer encore aujourd’hui à l’église de Roujan.

    Marc-Antoine Charpentier – Dixit Dominus (H. 197)

    Marc-Antoine Charpentier (1643 † 1704), maître de la musique de Marie de Lorraine, duchesse de Guise, du Dauphin, fils de Louis XIV, des Jésuites & de la Sainte Chapelle.
    Dixit Dominus (H. 197).
    4 voix mixtes (SATB) & basse continue.
    11 pages.
    Prélude instrumental (H. 197a).
    1 page.
    Partie de basse continue seule.
    2 pages.
    Parties restituées de dessus instrumentaux.
    5 pages.

    Ecrit par Charpentier dans la tonalité originale de sol mineur, soit “sérieux & magnifique” dans sa conception de l'”énergie des modes”, ce splendide Dixit Dominus trouvera sa place aux vêpres aussi bien que comme motet durant la messe (par exemple pour la fête du Christ-Roi).

    L’exécution de ce psaume 109 nécessite trois solistes (haute-contre, taille, basse taille). Notre partition identifie clairement les parties des solistes en mettant leur texte en caractères italiques, selon une pratique rencontrée dans l’édition parisienne au XVIIème siècle. L’écriture de Charpentier fait alterner les solistes & le chœur, selon les principes traditionnels de l’antiphonie.

    Ce magnifique psaume a été très bien enregistré par les chantres & les pages du Centre de Musique Baroque de Versailles sous la direction d’Olivier Schneebeli (Marc-Antoine Charpentier – Vêpres de Saint-Louis).

    Marc-Antoine Charpentier a écrit un prélude instrumental (H. 197a) pour cette partition. Nous avons aussi restitué de ce fait les parties instrumentales pour le reste du motet, en tenant compte des usages de l’époque en matière de doublures instrumentales.

    Les premières mesures de cette partition :

    Marc-Antoine Charpentier - Dixit Dominus (H 197)

     

     

    « L’unité vient du Christ » – interview de notre nouveau curé

    Abbé Jean Pierre Batut

    19 juillet 2007 – Paris Notre-Dame, journal du diocèse de Paris

    Après avoir été curé de Ste-Jeanne de Chantal (16e) jusqu’en 2006, le P. Jean-Pierre Batut arrive à St-Eugène-Ste-Cécile (9e).

    PARIS NOTRE-DAME “Vous avez toujours enseigné parallèlement à votre ministère en paroisse. Que vous apporte l’enseignement ?”

    P. JEAN-PIERRE BATUT “Avant d’être prêtre, je me sentais une vocation d’enseignant. J’aime enseigner et comme Dieu a de l’humour, j’ai renoncé à l’enseignement pour le retrouver ! Mes nouveaux paroissiens auront donc un curé à temps partiel, mais j’essayerai de les faire profiter de mon ministère d’enseignement à l’Ecole Cathédrale et à la Faculté Notre-Dame. Inversement, mon ministère paroissial enrichit le professeur que je suis. Pour moi, il n’y a pas de coupure entre les deux. Il s’agit toujours de transmettre le Christ. De toute façon, tout prêtre reçoit mission d’enseigner le jour de son ordination. Il est évident que l’enseignement de la théologie oblige à continuer à travailler. C’est un moteur fantastique pour ne pas faire de sur-place intellectuel !”

    P. N.-D. “En plus de la messe dite de Paul VI, St-Eugène a la mission de célébrer la messe selon le missel de saint Pie V. Est-ce une nouveauté pour vous ? Comment envisagez-vous votre ministère de curé ?”

    J.-P. B. “Le motu proprio de Benoît XVI vient d’élargir considérablement la possibilité de célébrer dans ce rite : il est donc à prévoir que dans de nombreux autres lieux, partout dans le monde, on fera usage de cette possibilité. Personnellement, je n’ai pas encore l’expérience du rite tridentin (c’est le véritable nom du rite dit de saint Pie V). C’est une découverte que j’aborde avec beaucoup d’intérêt. Dans cette paroisse, il y a des fidèles des deux sensibilités, dont certains, attachés au rite tridentin, l’ont choisie comme paroisse d’élection. Ce n’est pas du tout exceptionnel, bien d’autres paroisses de Paris sont des paroisses d’élection. Quand j’étais curé de Ste-Jeanne de Chantal, beaucoup venaient de Boulogne, donc d’un autre diocèse ! Je les considérais tout autant comme mes paroissiens que ceux qui habitaient géographiquement dans la paroisse. S’il y a plusieurs raisons de fréquenter St-Eugène, il n’y a qu’une seule paroisse. Pour moi, il est clair qu’il n’y a pas plusieurs catégories de paroissiens. Cependant, l’unité entre tous ne viendra pas de moi mais du Christ. C’est la foi au Christ qui rassemble ces personnes. Je suis là comme garant de cette unité au nom du Christ et de l’évêque. L’unité est donnée et, en même temps, elle n’est pas automatique. Elle suppose de vouloir vivre dans la charité, c’est-à-dire : ne pas prendre la paroisse pour un self-service, considérer que toute personne qui s’y trouve est mon frère ou ma sœur dans la communauté chrétienne, se savoir appelé ensemble à la même mission de l’Eglise, ne pas seulement vivre entre soi.”

    P. N.-D. “Qu’est pour vous une paroisse missionnaire ?”

    J.-P. B. “Une paroisse qui regarde autour d’elle et ne perd pas une occasion d’avoir des contacts. A Paris, nous avons la double chance d’avoir une grande densité de population et une variété extrême de provenances. Pas besoin d’aller loin pour voir du monde. St-Eugène est à cheval entre les quartiers juif et turc… Signe de Dieu à ne pas laisser de côté, me semble-t-il. J’ai l’intention d’inviter les autorités religieuses des autres religions du quartier à mon installation et de nouer des contacts avec elles. La visibilité fait partie de la mission, mais la mission ne se réduit pas à cela. Nous avons à vivre simultanément ces deux paroles : « Que votre lumière brille devant les hommes » (Mt 5, 16), qui est un appel à la visibilité, et « ne pratiquez pas votre justice devant les hommes pour vous faire remarquer » (Mt 6, 1), qui est un rappel que seul un cœur pur a du prix aux yeux de Dieu. C’est dans le secret du cœur qu’il s’agit de rapporter à Dieu tout honneur et toute gloire.”

    Propos recueilli par Claire Folscheid

    Anonyme, Magnificat sur le ton royal

    Magnificat sur le ton royal
    Anonyme
    , tradition de Notre-Dame de Paris.
    4 voix mixtes (SATB).
    3 pages – Sol Majeur.

    Magníficat *
    ánima mea Dóminum.
    Mon âme magnifie le Seigneur.
    Et exsultavit spíritus meus *
    in Deo salutári meo.
    Et mon esprit est rempli de joie en Dieu mon Sauveur.
    Quia respéxit humilitátem ancíllæ suæ : *
    ecce enim ex hoc beátam me dicent omnes generatiónes.
    Parce qu’il a regardé la bassesse de sa servante ; car désormais toute la postérité m’appellera bienheureuse.
    Quia fecit mihi magna qui potens est : *
    et sanctum nomen ejus.
    Parce que celui qui est tout-puissant a fait en moi de grandes choses ; et son nom est saint.
    Et misericórdia ejus a progénie in progénies *
    timéntibus eum.
    Et sa miséricorde se répand de race en race sur ceux qui le craignent.
    Fecit poténtiam in bráchio suo : *
    dispérsit supérbos mente cordis sui.
    Il a déployé la force de son bras : il a détruit les desseins que les superbes méditaient en leur cœur.
    Depósuit poténtes de sede, *
    et exaltávit húmiles.
    Il a renversé les grands de leur trône ; & il a élevé les humbles & les petits.
    Esurientes implévit bonis : *
    et dívites dimísit inánes.
    Il a comblé de biens ceux qui souffraient la faim ; & il a privé de tout les riches.
    Suscépit Israel púerum suum, *
    recordátus misericórdiæ suæ.
    Il a pris la défense d’Israël son serviteur, se ressouvenant de sa miséricorde.
    Sicut locútus est ad patres nostros, *
    Abraham et sémini ejus in sæcula.
    Ainsi qu’il l’a promis à nos Pères, à Abraham, & à sa postérité pour toujours.
    Glória Patri, et Fílio, *
    et Spirítui Sancto.
    Gloire au Père, et au Fils, et au Saint Esprit,
    Sicut erat in princípio, et nunc, et semper, *
    et in sæcula sæculórum. Amen.
    Comme il était au commencement, et maintenant, et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.

    On a longtemps pensé que le ton royal était dû au roi Louis XIII, dont on savait les talents de musicien & de compositeur (Louis XIII est mort entouré de ses musiciens qui chantaient les psaumes en motets qu’il avait écrits). J’ai pourtant retrouvé ce ton de psalmodie, que la tradition appelle “ton royal”, dans un petit manuel de processions de la Ligue du temps d’Henri III. Il est donc plus ancien à Paris que les tons dits “oratoriens” desquels il se rapproche (avec le changement de corde de récitation à l’hémistiche). Il est possible en tout cas que ce ton fut employé lors de la première procession du vœu de Louis XIII, un manuel de jésuites postérieur de quelques années appelle ce ton “les grâces du Roi”.

    Le ton royal correspond assez bien au VIème ton du plain-chant ordinaire. Nous le donnons ici avec le fameux faux-bourdon traditionnel de Notre-Dame de Paris (transcrit tant pour les notes que pour le rythme qui conserve les anciennes habitudes de déclamations accentuées des psaumes latins).

    Les premières mesures de cette partition :
    Magnificat sur le VIème ton ton royal

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    Magnificat sur le VIème ton royal
     

    Et voici une transcription de ce plain-chant traditionnel que nous avons réalisée : selon les usages traditionnels du plain-chant français, les valeurs des longues/brèves sont rendus par les grandes virgas/losangées.

    Magnificat royal - plain-chant traditionnel français

    Pie XII au trône, le cardinal Dante étant cérémoniaire

    Pie XII & le cardinal Dante

    Henri, cardinal Dante (1884 † 1967) a été avec une extrême longévité cérémoniaire papal (depuis 1914) puis préfet des cérémonies pontificales (de 1947 à sa mort).
    Il a été ainsi cérémoniaire lors des couronnements des papes Benoît XV, Pie XI, Pie XII, Jean XXIII & Paul VI.
    Archevêque titulaire de Carpasia, il a reçu le sacre épiscopal des mains de Jean XXIII lui-même le 21 septembre 1962.

    Nommé pro-secrétaire (1959) puis secrétaire (1960) de la Sacrée Congrégation des Rites, il a assisté au Second Concile du Vatican, mais il a désapprouvé les réformes liturgiques subséquentes.

    Paul VI l’a créé cardinal-prêtre de Sainte-Agathe-des-Goths au consistoire de février 1965. Pour l’anecdote, pendant la cérémonie, le pape s’est trompé & a imposé au cardinal Dante une barette qui n’était pas la sienne, beaucoup trop grande pour lui & qui recouvrait ses oreilles ! 😉

    Le cardinal Dante avait conservé jusqu’à sa mort une allure athlétique. Grand sportif, il avait contribué à la création de l’équipe de Rome de football. Il était aussi alpiniste.

    Source : Wikipedia.

    Marc-Antoine Charpentier – Ave verum corpus (H. 233)

    Marc-Antoine Charpentier (1643 † 1704), maître de la musique de Marie de Lorraine, duchesse de Guise, du Dauphin, fils de Louis XIV, des Jésuites & de la Sainte Chapelle.
    Ave verum (H. 233).
    2 voix égales (SS), 2 dessus instrumentaux & basse continue.
    4 pages – Sol mineur.

    Ecrit par Charpentier dans la tonalité originale de la mineur, soit “tendre & plaintif” dans sa conception des “énergies des modes”, ce petit motet au Très-Saint Sacrement trouvera sa place lors d’une communion ou en motet d’exposition à un salut.

    Conçu pour être chanté par deux dessus (deux enfants ou deux femmes), il peut aussi être chanté par deux hommes ou une femme & un homme. Sans partie vocalisante & de tournure très facile, on peut aussi confier son exécution à un chœur à deux parties. Les parties instrumentales sont elles aussi très faciles.

    Les premières mesures de cette partition :

    Marc-Antoine Charpentier - Ave verum (H. 233)

     
    Cliquer sur ce lien pour ouvrir & télécharger la partition du conducteur en fichier PDF.

    Cliquer sur ce lien pour ouvrir & télécharger la partition des deux dessus instrumentaux en fichier PDF.
     

    Guillaume Bouzignac (attr.) – O vere digna Hostia

    Musique attribuable à Guillaume Bouzignac (c. 1587 † ap. 1643), maître de chapelle des cathédrales d’Angoulême, de Bourges, de Rodez, de Clermont-Ferrand & de la collégiale Saint-André de Grenoble.
    O vere digna Hostia
    Texte du roi Louis XII – 4 voix mixtes (SATB).
    2 pages – Ut mineur.

    Voici une magnifique élévation de Guillaume Bouzignac, tirée du manuscrit Deslauriers de la Bibliothèque Nationale de France (transcription : Henri de Villiers). Le roi Louis XII, à la suite d’un vœu fait au cours des guerres d’Italie alors qu’il était en difficulté, composa ce texte, s’inspirant de l’une des strophes de l’hymne de Pâques Ad cœnam Agni providi. Il voulu le faire chanter à l’élévation de toutes les messes hautes du Royaume, conjoint à la strophe O salutaris Hostia qui avait été réglé à cette place par le roi Charles V. Cette décision fur entérinée par l’Assemblée du clergé de 1512.

    Après un début admiratif en valeurs longues, Bouzignac use d’un splendide contrepoint, tout en préservant la claire compréhension du texte, conformément à la nouvelle esthétique musicale demandée par le Concile de Trente.

    Les premières mesures de cette partition :

    Guillaume Bouzignac - Elévation - O vere digna Hostia

    O vere digna Hóstia,
    Spes única fidélium :
    In te confídit Fráncia,
    Da pacem, serva lílium.
    Ô vraiment digne Hostie
    Unique espoir des fidèles,
    En toi se confie la France,
    Donne-lui la paix, conserve le lys.

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