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Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Programme du XXIème dimanche après la Pentecôte

Autel

Saint-Eugène, le dimanche 17 octobre 2010, grand’messe de 11h.

  • Procession d’entrée : orgue
  • Propre grégorien du jour – Kyriale : Missa XI Orbis factor
  • Credo I
  • Pendant les encensements de l’offertoire : chant du Dirigatur du IInd ton – faux-bourdon parisien (édition de 1739)
  • Après la Consécration : O salutaris hostia sur le ton de la préface – Henri de Villiers
  • Pendant la communion : In exitu Israel – Psaume 113 – ton pérégrin & faux-bourdon parisien
  • Prière pour la France, faux-bourdon parisien du Ier ton (d’après l’édition de 1739)
  • Ite missa est XI
  • Après le dernier Evangile : Sub tuum
  • Procession de sortie : Psaume CL – tradition du monastère de Valaam – adaptation Henri de Villiers
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

    Programme du XXIème dimanche après la Pentecôte – Saint Hiérothée – ton 4

    Paroisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le dimanche 17 octobre 2010 du calendrier grégorien – 4 octobre 2010 du calendrier julien, divine liturgie de 9h15.

    Dimanche du ton IV de l’Octoèque. Nous fêtons aussi en ce jour la fête de saint Hiérothée, qui, comme saint Denis, fut l’un des Athéniens converti par saint Paul à la suite de son fameux discours sur l’Aréopage (cf. Actes des Apôtres, chapitre 17). Il devint premier évêque d’Athènes et mourut martyr. Le martyrologe romain le fête également au 4 octobre.

    A la petite entrée :
    1. Tropaire du dimanche, ton 4 : Recevant de l’Ange la joyeuse nouvelle * de la Résurrection de leur Seigneur * et détournant l’ancestrale condamnation, * les saintes Femmes se firent gloire d’annoncer aux Apôtres : * le Christ a triomphé de la mort, * il est ressuscité, notre Dieu, * pour donner au monde la grâce du salut.
    2. Tropaire de saint Hiérothée, ton 4 (tropaire commun aux disciples de Paul) : Maître en douceur, sobre en tout * et de noble conscience, comme prêtre revêtu, au Vase d’élection tu as puisé * les ineffables vérités ; * tu as gardé la foi, et comme lui, * mené ta course à bonne fin ; * pontife & martyr, saint Hierothée, * prie le Christ notre Dieu * de sauver nos âmes.
    3. Premier kondakion de saint Hiérothée, ton 8 : Comme évêque d’Athènes nous te célébrons, * nous qui avons connu d’ineffables mystères grâce à toi, * théologien divinement inspiré, bienheureux Hiérothée ; * intercède pour que nous soyons sauvés de tout malheur, * afin que nous puissions te dire à haute voix : * réjouis-toi Père sage-en-Dieu.
    4. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit.
    5. Second kondakion de saint Hiérothée, ton 4 : Tel une colonne inébranlable, Hiérothée, * tu ne t’es pas épouvanté des menaces des démons, * mais tu as ruiné leur grande séduction, * tel un roc de gloire et de grand prix. * C’est pourquoi le Seigneur, de sa droite principe de vie et divine, * t’as couronné, courageux : * prie-le pour nous tous.
    6. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
    7. Kondakion du dimanche, ton 4 : Mon Sauveur & mon libérateur * a ressuscité tous les mortels, * les arrachant par sa force divine aux chaînes du tombeau ; * il a brisé les portes de l’Enfer * et en maître souverain il est ressuscité le troisième jour.
    Prokimen
    Du dimanche, ton 4 :
    ℟. Que tes œuvres sont grandes, Seigneur ! Toutes, avec sagesse tu les fis (Psaume 103, 24).
    ℣. Bénis le Seigneur, mon âme ! Seigneur, mon Dieu, tu es si grand ! (Psaume 103, 1).
    Alleluia
    Du dimanche, ton 4 :
    ℣. Va, chevauche pour la cause de la vérité, de la piété & de la justice (Psaume 44, 5).
    ℣. Tu aimes la justice, tu hais l’impiété (Psaume 44, 8).
    Verset de communion
    Du dimanche : Louez le Seigneur du haut des cieux, louez-le au plus haut des cieux. (Psaume 148, 1). Alleluia, alleluia, alleluia.

    Programme de la Solennité de saint Denys, premier évêque de Paris, & ses compagnons Rustique, prêtre, & Eleuthère, diacre, martyrs

    Saints Denys, Rustique & Eleuthère

    Saint-Eugène, le dimanche 10 octobre 2010, grand’messe de 11h.

  • Kyriale : Messe Royale du Ier ton d’Henry du Mont (1610 † 1684), organiste de Saint-Paul et de la reine, sous-maître de la chapelle du roi Louis XIV – propre du jour chanté en vieux plain-chant parisien
  • Procession d’entrée: orgue
  • Séquence parisienne Gaude prole, Græcia – prose attribuée au roi Robert II le Pieux (972 † 1031) – selon la tradition, l’orgue figure les versets impairs
  • Pendant les encensements de l’offertoire : Lux de luce Deus, hymne de l’office parisien de Saint Denis (cette hymne à servi de modèle à Saint Thomas d’Aquin pour la composition du Sacris solemniis) – l’orgue figure les versets impairs
  • Préface parisienne de saint Denys & de ses compagnons
  • Après la Consécration : O salutaris hostia – François Giroust (1737 † 1799), maître de chapelle du roi Louis XVI
  • Agnus Dei de la messe Ad Majorem Dei Gloriam d’André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris et de Louis XV à Versailles
  • Pendant la communion : Benedícat nos Deus, antienne solennelle du Ier ton, de l’antique liturgie du rit parisien (avant le IXème siècle) – Magnificat du Ier ton
  • Prière pour la France, sur le ton royal – harmonisation traditionnelle de Notre-Dame de Paris
  • Ite missa est sur le chant du Ier Kyrie de la Messe royale du Ier ton d’Henry du Mont
  • Pendant le dernier Evangile : Inviolata
  • Procession de sortie : Laudes carolingiennes (VIIIème siècle) : Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat !
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

    Messe pour la Reine Marie-Antoinette à Saint-Denis le 16 octobre

    Louis XVI & Marie-Antoinette à Saint-Denis

    Messe annuelle de requiem pour la Reine organisée par le Mémorial de France à Saint-Denis, chantée par la Schola Sainte Cécile.

    A cette occasion, la Schola Sainte Cécile chantera le Requiem des rois de France d’Eustache du Caurroy, œuvre qui fut donnée il y a 400 ans en ce même lieu pour la messe des funérailles du roi Henri IV, et qui fut constamment chantée pour les funérailles royales jusqu’à la révolution.

    « Je viens d’être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère. (…) Mon Dieu ayez pitié de moi ! Mes yeux n’ont plus de larmes pour pleurer pour vous mes pauvres enfants. Adieu, Adieu ! » (ultime lettre à Madame Elisabeth).


    L’évènement sur Facebook

    Programme du XXème dimanche après la Pentecôte – Saint Callistrate – ton 3

    Paroisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le dimanche 10 octobre 2010 du calendrier grégorien – 27 septembre du calendrier julien, divine liturgie de 9h15.

    Dimanche du ton III de l’Octoèque. Nous fêtons aussi en ce jour la fête des saints Callistrate, Gymnasios et leurs 48 compagnons, tous soldats, qui reçurent la palme du martyre à Rome lors de la persécution de Dioclétien. Callistrate – dont le nom grec signifie “beau soldat” – est un soldat originaire de Carthage, chrétien & soldat comme son père. Un de leurs aïeuls avait été soldat en Palestine sous l’autorité du procurateur Ponce Pilate & avait assisté aux évènements de notre Rédemption. Dénoncé comme chrétien, Callistrate subit différents tourments avant d’être jeté à la mer cousu dans un sac en cuir, mais par le secours divin, il en sortit sain et sauf et fut ramené au rivage par des dauphins ; ce que voyant, 49 soldats de ses compagnons d’armes se convertirent à la foi chrétienne, et devinrent avec lui ses compagnons dans le martyre. Ils furent tous jetés en prison, Callistrate profita de ce temps pour les catéchiser. Les 50 furent plongés pieds et mains liés dans une piscine profonde. Les 49 néophytes considérèrent cette immersion comme leur baptême. Cependant des signes grandioses – une colonne de lumière et un tremblement de terre qui renversa l’idole la plus proche – accompagnèrent cette nouvelle épreuve et interrompirent le supplice. Les 50 soldats furent en définitive passés par le fil de l’épée dans leur prison & découpés en morceaux, mais – comme le sang des martyrs est semence de chrétiens – ce supplice inique entraîna la conversion de 135 autres soldats qui pieusement ensevelirent leur restes. Callistrate et ses compagnons sont des martyrs romains, mais leur culte se répandit à Byzance où une partie de leurs reliques avait était apportée et était vénérée au monastère de sainte Epicharite. Le martyrologe romain les fête le 26 septembre tandis que le synaxaire arménien les vénère le 28 juin.

    A la petite entrée :
    1. Tropaire du dimanche, ton 3 : Que les cieux se réjouissent, * que la terre exulte d’allégresse, * car le Seigneur a fait merveille * par la force de son bras, * terrassant la mort par sa propre mort * et devenant d’entre les morts le premier-né : * du sein de l’Enfer il nous a tous sauvés, * accordant au monde la grâce du salut.
    2. Tropaire des saints martyrs, ton 4 : Tes Martyrs, Seigneur, * pour le combat qu’ils ont mené ont reçu la couronne d’immortalité de toi, notre Dieu ; * animés de ta force, ils ont terrassé les tyrans * et réduit à l’impuissance l’audace des démons ; ** par leurs prières sauve nos âmes.
    3. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit.
    4. Kondakion du saint martyr Callistrate & de ses compagnons, ton 4 : Vous avez enduré de multiples blessures, et vous avez clairement recherché les couronnes de Dieu, priez pour nous, ô Saints, le Christ ; par la mémoire que nous faisons de votre grande fête, nous glorifions votre passion, ô Callistrate et ses compagnons, parce que vous guidez votre troupeau & votre peuple, car vous êtes le soutien des croyants.
    5. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
    6. Kondakion du dimanche, ton 3 : Du tombeau tu es ressuscité * en ce jour, ô Dieu de miséricorde, * nous arrachant aux portes de la mort ; * en ce jour Adam tressaille d’allégresse et Eve danse de joie, * et tous ensemble les Patriarches & les Prophètes chantent inlassablement * la force & la puissance de ta divinité.
    Prokimen
    Du dimanche, ton 3 :
    ℟. Sonnez pour notre Dieu, sonnez ; sonnez pour notre Roi, sonnez ! (Psaume 46, 7).
    ℣. Tous les peuples, battez des mains, acclamez Dieu par vos cris de joie ! (Psaume 46, 2).
    Alleluia
    Du dimanche, ton 3 :
    ℣. En toi, Seigneur, j’ai mon abris ; sur moi pas de honte à jamais (Psaume 30, 2).
    ℣. Sois pour moi un Dieu qui me défend, un lieu fort qui me sauve (Psaume 30, 3).
    Verset de communion
    Du dimanche : Louez le Seigneur du haut des cieux, louez-le au plus haut des cieux. (Psaume 148, 1). Alleluia, alleluia, alleluia.

    Jerusalem et Sion filiæ – Prose parisienne de la Dédicace – Offices notés complets de Paris – 1899

    Cette prose est due au célèbre hymnographe parisien Adam de Saint-Victor (c. 1112 † c. 1192), préchantre de la cathédrale de Paris, principal auteur du répertoire parisien des séquences dont il a renouvelé le genre en leur conférant une ampleur musicale et une richesse spirituelle par les images théologiques abordées. Ce répertoire victorin s’est très vite diffusé dans toute l’Europe Occidentale, on en chantait les séquences dès le XIIIème siècle à Palerme, Zagreb, Aix-la-Chapelle ou Dublin. Les livres parisiens modernes contiennent deux chants pour cette prose, celui d’Adam de Saint-Victor, et celui recomposé au XVIIIème siècle par l’Abbé d’Haudimont, maître de chapelle de la cathédrale de Châlons-sur-Saône puis de Notre-Dame de Paris et de Saint-Germain L’Auxerrois (avant 1790). La mélodie d’Haudimont, quoique récente, est, avouons-le d’une grande réussite musicale et fut immédiatement très populaire à Paris. Elle figure sur l’enregistrement historique “Grandes heures liturgiques à Notre-Dame de Paris”, sous la direction de Mgr Revert, maître de chapelle de Notre-Dame, où l’on peut entendre le contre-chant des voix de dessus sur le dernier vers de chaque strophe, contre-chant devenu traditionnel à Paris.

    La prose de la dédicace chantée par la Schola Sainte Cécile à Notre-Dame de Paris le 29 mai 2013 :

    Comme l’admirable poésie d’Adam de Saint-Victor recèle de vrais trésors théologiques par la vision de l’Eglise qui y est développée, nous en donnons une traduction française tirée du Missel parisien de Mgr de Vintimille du Luc à l’usage des laïcs de 1738.

    JERUSALEM et Sion fíliæ,
    Cœtus omnis fidélis cúriæ,
    Melos pangant jugis lætítiæ.
    Allelúia.
    Filles de Jérusalem et de Sion, saints habitants des demeures célestes, chantez de concert un cantique de joie. Alléluia.
    CHRISTUS enim norma justítiæ
    Matrem nostram despónsat hódie,
    Quam de lacu traxit misériæ
    Ecclésiam.
    C’est en ce jour que Jésus-Christ, le modèle de toute justice, prend pour épouse l’Eglise notre mère, qu’il a tirée de l’abîme de misère où elle était plongée.
    HANC sánguinis et aquæ múnere,
    Dum pénderet in crucis árbore,
    De próprio prodúxit látere
    Deus homo.
    C’est du côté ouvert de l’Homme-Dieu attaché sur la Croix qu’elle est sortie ; le sang précieux, & l’eau mystérieuse qui coulèrent de cette source sacrée, lui furent donnés alors pour la laver et la sanctifier.
    FORMARETUR ut sic Ecclésia,
    Figurátur in prima fémina,
    Quæ de costis Adæ est édita
    Mater Eva.
    La formation de l’Eglise par Jésus-Christ avait été figurée par celle d’Eve, cette mère commune du genre humain, qui fut tirée d’une des côtes d’Adam notre premier père.
    EVA fuit novérca pósteris ;
    Hæc est mater elécti géneris,
    Vitæ portus, ásylum míseris,
    Et tutéla.
    Eve a donné la mort à ses enfants ; mais l’Eglise est une mère qui donne la vie aux siens : elle est pour eux un port de salut : elle est leur asile, et leur solide appui.
    HÆC est cymba qua tuti véhimur ;
    Hoc ovíle quo tecti cóndimur ;
    Hæc cólumna, qua firmi nítimur
    Veritátis.
    Elle est cette barque sur laquelle nous voguons sûrement à travers les écueils du siècle ; cette bergerie où nous sommes à l’abri des attaques de l’ennemi : elle est la colonne de vérité, sur laquelle nous sommes appuyés comme sur un fondement inébranlable.
    O sólemnis festum lætítiæ,
    Quo únitur Christus Ecclésiæ,
    In quo nostræ salútis núptiæ
    Celebrántur.
    Quelle doit être notre joie et notre reconnaissance dans cette auguste solennité, où nous célébrons l’union de Jésus-Christ avec son Eglise, union sainte par laquelle s’opère le grand ouvrage de notre salut !
    JUSTIS inde solvúntur præmia,
    Lapsis autem donátur vénia,
    Et sanctórum augéntur gáudia
    Angelórum.
    Par cette union mystérieuse les justes entrent en possession des récompenses éternelles, les pécheurs obtiennent le pardon de leurs crimes, les Anges même sentent augmenter leur joie.
    AB æterno fons sapiéntiæ,
    Intúitu solíus grátiæ,
    Sic prævídit in rerum série
    Hæc futúra.
    Ces merveilles sont l’effet de la sagesse suprême de Dieu, qui par le seul motif de sa miséricorde, en a prévu l’accomplissement de toute éternité.
    CHRISTUS jungens nos suis núptiis,
    Recréatos veris delíciis,
    Intéresse fáciat gáudiis
    Electórum. Amen.
    Que Jésus-Christ notre Sauveur, dont nous devenons les enfants par l’union qu’il contracte avec l’Eglise notre mère, nous fasse goûter les vraies délices, et participer dans le ciel aux joies éternelles des Elus. Amen.

    >>> MP3 de cette prose par la Schola Sainte Cécile lors de la messe en rit traditionnel du 17 juin 2008 (enregistrement pris par un fidèle assez loin depuis la nef).

    Programme de la Solennité du Très-Saint Rosaire de la Bienheureuse Vierge Marie


    Victoire de Lépante

    Saint-Eugène, le dimanche 3 octobre 2010, grand’messe de 11h.

  • Propre grégorien du jour – Kyriale : Missa IX Cum Jubilo
  • Procession d’entrée: Litanies de la Sainte Vierge – Chant de Besançon
  • Credo III
  • Et incarnatus est de la Missa syllabica de Jean de Bournonville (1585 † 1632), maître de chapelle de la collégiale de Saint-Quentin, des cathédrales d’Abbeville et d’Amiens, et de la Sainte Chapelle de Paris
  • Pendant les encensements de l’offertoire : Tota puchra es – motet à 4 voix de femmes de Guillaume Bouzignac (c. 1587 † ap. 1643), maître de chapelle des cathédrales d’Angoulême, de Bourges, de Rodez et de Clermont-Ferrand
  • Après la Consécration : O vere digna Hostia de Guillaume Bouzignac
  • Pendant la communion : Ave Maria – d’après Jacques Arcadelt (c. 1504 † 1568), maître de chapelle du cardinal de Lorraine, chantre de la chapelle royale
  • Prière pour la France, sur le ton royal – harmonisation traditionnelle de Notre-Dame de Paris
  • Ite missa est IX
  • Pendant le dernier Evangile : Salve Regina
  • Procession de sortie : Salve Regina Cœlitum – harmonisation : Henri de Villiers
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.