Saint-Eugène, le dimanche 4 novembre 2012, grand’messe de 11h.
La guérison de l’hémoroïsse & la résurrection de la fille de Jaïre
“Et voilà qu’une femme affligée d’une perte de sang depuis douze ans, s’approcha de lui par derrière, et toucha la frange de son vêtement.” Nous lisons dans l’Évangile selon saint Luc que la fille du prince de la synagogue avait douze ans. Cette femme, je veux dire le peuple gentil, commence donc à être malade au temps même où le peuple juif naissait à la foi. Ceci est à remarquer ; car un vice ne ressort que par le contraste des vertus.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.
Procession d’entrée : Jam lucis orto sidere – Hymne de l’office de Prime – texte du VIIIème siècle – mélodie du VIIIème ton en usage à Nancy.
Propre grégorien du jour – Kyriale : Missa XI Orbis factor
Credo I
Pendant les encensements de l’offertoire : chant du Dirigatur du IInd ton – faux-bourdon parisien (édition de 1739)
Après la Consécration : O salutaris Hostia sur le ton du récitatif liturgique de la préface – Henri de Villiers
Pendant la communion : orgue
Prière pour la France, faux-bourdon parisien du Ier ton (d’après l’édition de 1739)
Ite missa est XI
Après le dernier Evangile : Inviolata
Procession de sortie : Vers la mort qui vient – cantique du R. P. Jacques Bridaine ( 1701 † 1767) – texte de le Chanoine Eugène Blineau (1886 † 1959), du chapitre de la cathédrale de Nantes
Organiste : Touve R. Ratovondrahety
Télécharger le livret de cette messe au format PDF.