Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Meskel – la fête de l’Exaltation de la Croix en Ethiopie

Meskel (“Croix”), est une des fêtes majeures de l’Ethiopie. Lors de la vigile du 14 septembre (correspondant au 27 septembre dans notre calendrier grégorien), de grands bûchers sont embrasés un peu partout pour faire mémoire de l’impératrice Hélène (Nigist Eleni), laquelle aurait allumé un semblable bûcher, y mêlant de l’encens, à la suite d’une révélation qu’elle avait eue. La fumée du bûcher s’était alors incurvée pour désigner à la mère de Constantin l’emplacement où la sainte Croix était enterrée.

La vraie Croix, volée par les Perses mais récupérée par l’empereur byzantin Héraclius (575 † 641) fut par lui partagée en trois partie : l’une fut envoyée à Rome, l’autre à Byzance tandis que la partie principale restait à Jérusalem. Perdue par les Croisées à la désastreuse bataille d’Hattin (4 juillet 1187), cette relique de la vraie Croix fut rachetée aux musulmans par l’empereur d’Ethiopie David Ier (c. 1350 † 1413). Son fils l’empereur Zara Yacob (1399 † 1468) – qui règna sous le nom de Constantin Ier – plaça cette précieuse relique dans le monastère de Gishen Mariam, dans le Nord-Est de la province du Wollo, où de grandes foules viennent toujours en pèlerinage de toute l’Ethiopie pour la vénérer.

Les chrétiens éthiopiens ont toujours une dévotion fervente envers la Croix. La fête de Meskel – qui est jour férié en Ethiopie – est l’occasion de nombreuses festivités et réjouissances familiales (même si, tombant cette année un vendredi, l’abstinence de viande et produits animaux était de rigueur). La fête marque également la fin de la saison des pluies.

Les cérémonies les plus spectaculaires ont lieu à Addis Abeba, la capitale, sur la Place Meskel, lieu dédié à cette manifestation, où s’assemble chaque année une foule compacte de plusieurs dizaines de milliers de fidèles.

Seul pays au monde à célébrer l’Exaltation de la sainte Croix par un jour férié, l’Ethiopie a déposé un dossier auprès de l’UNESCO afin d’enregistrer la fête annuelle de Meskel à Addis-Abeba au patrimoine culturel de l’humanité. Le ministère des Affaires étrangères a déclaré que la fête “mérite cette distinction en raison de l’antiquité de sa célébration, de sa couleur et de sa signification, et pour l’attraction qu’elle exerce sur un nombre grandissant de touristes, ainsi que pour l’énorme participation de la société civile et des gens de tous âges, ce qui lui confère des qualités uniques”.

Programme de la fête de la Dédicace de saint Michel Archange

Saint Michel ArchangeSaint-Eugène, le dimanche 29 septembre 2013, grand’messe de 11h.

Saint-Michel archange est le chef des armées angéliques ; son nom signifie Qui est comme Dieu ?. Il est cité à quatre reprises dans l’Écriture :

  1. Daniel 10, 13 & 21 : Gabriel déclare à Daniel, lorsque celui-ci demande à Dieu de permettre la Juifs de retourner à Jérusalem : “Le prince du royaume des Perses m’a résisté vingt et un jours ; mais Michel, le premier d’entre les premiers princes, est venu à mon secours (…) Mais je t’annoncerai présentement ce qui est marqué dans l’écriture de la vérité ; et nul ne m’assiste dans toutes ces choses, sinon Michel, qui est ton prince.
  2. Daniel 12, 1 : l’ange parlant de la fin du monde et l’Antéchrist déclare : “EN ce temps-là Michel, le grand prince, s’élèvera, lui qui est le protecteur des enfants de votre peuple ; et il viendra un temps tel qu’on n’en aura jamais vu un semblable, depuis que les peuples ont été établis jusqu’alors. En ce temps-là tous ceux de votre peuple qui seront trouvés écrits dans le livre, seront sauvés.”
  3. Epître de saint Jude 9 : “Cependant l’archange Michel dans la contestation qu’il eut avec le diable touchant le corps de Moïse, n’osa le condamner avec exécration ; mais il se contenta de dire : Que le Seigneur te réprime”. Saint Jude fait ici allusion à une ancienne tradition orale juive d’un différend entre Michel et Satan sur le corps de Moïse (Origène en parle dans son De Principiis III.2.2).
  4. Apocalypse 12, 7-9 : saint Jean évoque le grand combat eschatologique de Michel contre le diable : “Il y eut un grand combat dans le ciel : Michel et ses anges combattaient contre le dragon, et le dragon avec ses anges combattait contre lui. Mais ceux-ci furent les plus faibles ; et depuis ce temps-là ils ne parurent plus dans le ciel. Et ce grand dragon, cet ancien serpent qui est appelé le Diable et Satan, qui séduit tout le monde, fut précipité ; il fut précipité en terre, et ses anges avec lui.”

Suite à ces scripturaires passages, la tradition chrétienne attribue quatre offices à saint Michel : celui de lutter contre Satan, celui d’arracher les âmes des fidèles à la puissance de l’Ennemi, en particulier à l’heure de la mort, celui d’être le champion de l’Eglise militante, et en particulier des chevaliers chrétiens, enfin celui de conduire les âmes au jugement dernier (cf. offertoire de la messe des morts).

Dans le rit romain, la fête du 29 septembre est à l’origine la fête de la dédicace au Vème siècle d’une basilique située sur la via Salaria à 6 miles au Nord de Rome, dédiée à saint Michel & à tous les Anges, basilique qui disparut au cours du Xème siècle. Le Sacramentaire léonin place cette fête au 30 septembre sous le titre de Natale basilicae Angeli via Salaria et possède pas moins de cinq formulaires de messe pour ce jour, dont trois mentionnent explicitement saint Michel (les deux autres fêtant plus généralement tous les Anges). Le Sacramentaire gélasien donne la date du 29 septembre et appelle la fête S. Michaelis Archangeli tandis que le Sacramentaire grégorien l’appelle à la même date Dedicatio Basilionis S. Angeli Michaelis. Bien que conservant dans le missel romain l’antique titre de Dédicace de saint Michel Archange, la fête ne possède plus aucun caractère, ni au niveau des textes ni des rubriques, de fête de dédicace.

Les hymnes de l’office romain de ce jour ont été composée par saint Rhaban Maur de Fulda (c. 780 † 856), archevêque de Mayence. L’hymne des laudes mentionne en particulier les 3 archanges Michel, Gabriel & Raphaël.

Nous disons qu’il y a neuf ordres d’Anges. En effet, nous savons positivement par le témoignage de la sainte Écriture, qu’il y a : des Anges, des Archanges, des Vertus, des Puissances, des Principautés, des Dominations, des Trônes, des Chérubins et des Séraphins. Qu’il y ait des Anges et des Archanges, presque toutes les pages sacrées l’attestent ; quant aux Chérubins et aux Séraphins, il en est souvent question, comme on le sait, au livre des Prophètes. De plus, l’Apôtre saint Paul énumère les noms de quatre ordres dans ce passage de son Épître aux Éphésiens : “Au-dessus de toute Principauté, de toute Puissance, de toute Vertu, de toute Domination.” Il dit encore en écrivant aux Colossiens : “Soit les Trônes, soit les Puissances, soit les Principautés, soit les Dominations.” En joignant donc les Trônes aux quatre ordres dont il a parlé aux Éphésiens, on a cinq ordres ; et si l’on y ajoute les Anges et les Archanges, les Chérubins et les Séraphins, on trouve qu’il existe réellement neuf ordres d’Anges.
Sermon de saint Léon le Grand, pape, IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

  • Entrée du clergé : Saint Michel, de votre puissance, nous venons demander l’appui des anciens jours. Cantique à saint Michel.
  • Propre grégorien du jour – Kyriale VIII – De Angelis
  • Credo III
  • Pendant les encensements de l’offertoire : Pendant les encensements de l’offertoire, hymne des laudes du jour – texte de saint Rhaban Maur de Fulda(c. 780 † 856), archevêque de Mayence
  • Sanctus VIII – Benedictus polyphonique – alternance du chanoine Nicolas-Mammès Couturier (1840 † 1911), maître de chapelle de la cathédrale de Langres
  • Après la Consécration : O salutaris sur le ton du récitatif liturgique de la préface – Henri de Villiers
  • Pendant la communion : Tantum ergo sacramentum – texte de Saint Thomas d’Aquin – musique de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV – traduction versi-fiée du XVIIIème siècle
  • Prière pour la France, sur le ton royal – harmonisation traditionnelle de Notre-Dame de Paris
  • Ite missa est VIII
  • Après le dernier Evangile : Ave Maria – Tomás Luis de Victoria (1548 † 1611), maître de chapelle aux Descalzas Reales de Madrid
  • Sortie du clergé : Saint Michel & la France, cantique
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

    Programme du XIVème dimanche après la Pentecôte – Après-fête de l’Exaltation de la sainte Croix – sainte Euphémie – ton 5

    Sainte Euphémie de ChalcédoineParoisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le dimanche 29 septembre 2013 du calendrier grégorien – 16 septembre 2013 du calendrier julien, tierce & sexte à 8h55, divine liturgie de saint Jean Chrysostome à 9h15.

    Dimanche du ton V de l’Octoèque. Nous fêtons aussi en ce jour :
    – l’après-fête de l’universelle Exaltation de la précieuse & vivifiante Croix, laquelle célèbre la restitution de la vraie Croix et sa réinstallation à Jérusalem en 627, la précieuse relique étant rendue par les Perses à l’Empereur Héraclius à la suite de sa victoire de Ninive,
    – la fête de la sainte et illustre mégalomartyre Euphémie, qui reçut la palme du martyre vers l’an 304.

    Sainte Euphémie est honorée du titre rare de mégalomartyre (grande martyre). Dans le rit byzantin, elle est fêtée à deux reprises au cours de l’année : le jour de son martyre, le 16 septembre, et le 11 juillet. Sainte Euphémie était de Chalcédoine et fut martyrisée avec un luxe de d’épreuves & de souffrances durant la persécution de Dioclétien ; sur son tombeau fut édifiée une grande basilique. C’est dans cette basilique de Chalcédoine que se tint le IVème concile œcuménique. Selon l’historien Nicéphore, les pères du concile, après des jours de discussions sans fin, décidèrent de demander à Dieu de trancher sur la question de la double nature (homme et Dieu) du Christ. Chacun des deux camps déposa dans la tombe d’Euphémie l’exposé de sa doctrine, et les pères se mirent en prière. Quand ils ouvrirent le tombeau, la thèse orthodoxe se trouvait sur la poitrine de la sainte, et la thèse hérétique à ses pieds. C’était le 11 juillet 451. La deuxième fête de sainte Euphémie commémore donc ce miracle.

    Sainte Euphémie fut tenue très tôt en grand honneur tant en Orient qu’en Occident. Saint Ambroise de Milan parle ainsi de sainte Euphémie :

    Cette illustre vierge, cette glorieuse Euphémie, conserva la gloire de la virginité et mérita de recevoir la couronne du martyre. Priscus son adversaire est vaincu. Cette vierge sort intacte d’une fournaise ardente, les pierres les plus dures reviennent à l’état de cendre; les bêtes féroces s’adoucissent et se baissent devant elle. Sa prière lui fait surmonter toute espèce de supplice. Percée en dernier lieu par la pointe du glaive, elle quitte sa chair qui était sa prison pour se joindre avec liesse aux chœurs célestes. Que cette vierge sacrée, Seigneur, protège votre Église ; qu’elle prie pour nous qui sommes pécheurs : puisse cette vierge pure nourrie dans votre maison vous présenter nos vœux.

    Sainte Euphémie est également fêtée au 16 septembre – jour de sa naissance au ciel – par le rit romain :

    A Chalcédoine, l’anniversaire de sainte Euphémie, vierge & martyre. Sous l’empereur Dioclétien & le proconsul Prisque, elle supporta courageusement pour le Christ les tortures, la prison, les fouets, les supplices de la roue & du feu, le poids des pierres, les bêtes, la flagellation, les scies aiguës, les poêles bouillantes. De nouveau ramenée à l’amphithéâtre pour y être exposée aux bêtes, comme elle priait le Seigneur de recevoir son âme, une de ces bêtes mordit son saint corps, tandis que les autres léchaient ses pieds, et elle remit à Dieu son âme immaculée. Martyrologe romain au 16 septembre.

    Aux heures
    A tierce : Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire de la mégalomartyre. Et maintenant. Theotokion de tierce. Kondakion : du dimanche.
    A sexte: Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire de la fête. Et maintenant. Theotokion de sexte. Kondakion : de la fête.

    Tropaires des Béatitudes : 4 tropaires du dimanche, ton 5, 4 tropaires de la 3ème ode du canon de la fête & 4 tropaires de la 6ème ode du canon de la mégalomartyre.
    1. Le bon Larron sur la croix * eut foi en ta divinité, ô Christ ; * il te confessa d’un cœur sincère en s’écriant : ** De moi, Seigneur, en ton royaume souviens-toi.
    2. Sur le bois de la croix * pour nous les hommes tu fis fleurir la vie * et se flétrir la malédiction de l’arbre défendu : ** Sauveur & Créateur, nous te chantons d’un même chœur.
    3. Par ta mort, ô Christ, * tu as brisé la force de la mort, * ressuscitant tous les morts depuis Adam, ** qui te chantent comme vrai Dieu & Sauveur du genre humain.
    4. Venues à ton sépulchre, Sauveur, * les saintes Femmes te cherchaient * pour embaumer la Source de vie, ** mais un Ange leur apparut pour leur dire : Il est ressuscité, le Seigneur !
    5. Un bâton devient la figure de ce mystère : * fleurissant, il décide du sacerdoce d’Aaron * et dans l’Eglise naguère stérile * fleurit à présent l’arbre de la Croix ** pour être sa force et la puissance qui l’affermit.
    6. En laissant jaillir l’eau * pour un peuple rebelle et dur de cœur, * la roche la plus dure, sous le bâton qui la frappa, * manifesta le mystère de l’Eglise divinement élue ** dont la Croix est la force, la puissance qui l’affermit.
    7. Lorsque la lance transperça le côté du Christ, * il en coula du sang et de l’eau * renouvelant l’Alliance et lavant le péché, * car la Croix est la fierté des croyants, ** leur ferme appui et le sceptre des rois.
    8. Par le bois Moïse transforma * jadis les amères sources du désert, * montrant d’avance que par la Croix * les nations chemineraient vers la foi.
    9. Illustre Martyre qui nourrissais * en un cœur de femme de virils sentiments, ** tu méprisas les monstres qui se cachent dans les eaux.
    10. Tu as vaincu l’orgueil du tyran, Martyre invincible, * en demeurant sauve comme Jonas dans les eaux, ** parmi les monstres dévorants.
    11. Comme il avait sauvé de la fosse Daniel, * le Seigneur t’arracha aux fauves dévorants ** pour exaucer ta prière, Euphémie.
    12. Toi qui seule par la parole enfantas * dans la chair la Parole de Dieu, ** sauve nos âmes du filet de l’Ennemi.

    A la petite entrée :
    1. Tropaire du dimanche, ton 5 : Les vertus angéliques sur ton tombeau, * les gardes pétrifiés de crainte, * Marie près de ton sépulcre cherchait ton corps très pur ; * Toi, Tu captives l’enfer sans être séduit. * Tu vas à la rencontre de la Vierge, ** Tu donnes la Vie, ô Ressuscité des morts, gloire à toi !
    2. Tropaire de la fête, ton 1 : Sauve, Seigneur, ton peuple, * et bénis ton héritage, * accorde aux chrétiens orthodoxes * la victoire sur les ennemis, * et sauvegarde les tiens ** par ta Croix.
    3. Tropaire de la mégalomartyre, ton 4 : Ta brebis, ô Jésus, Euphémie, * crie d’une voix forte : * “Mon époux, c’est toi que j’aime, * c’est pour te chercher que je combats, * c’est avec toi que je suis crucifiée * et ensevelie par ton baptême. * Pour toi je souffre, afin de régner avec toi. * Pour toi je meurs, afin de vivre en toi. * Accueille, comme victime sans tache, * celle qui par amour est immolée pour Toi”. ** Par son intercession, parce que tu es miséricordieux, sauve nos âmes.
    4. Kondakion du dimanche, ton 5 : Des enfers où tu descendis, mon Sauveur, * tu as brisé les portes, Tout-Puissant, * pour ressusciter les morts, ô Créateur ; * et tu brisas l’aiguillon de la mort, * Adam fut délivré de la malédiction ; * et nous, Seigneur, nous te crions : ** sauve-nous, dans ton amour pour les hommes.
    5. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit.
    4. Kondakion de la mégalomartyre, ton 4 : En ton martyre tu as bien combattu, * après ta mort tu nous sanctifiés * par les flots de tes miracles, Euphémie ; * c’est pourquoi nous vénérons ta sainte dormition, * nous tenant avec foi près de tes reliques sacrées * afin de préserver nos âmes de toute maladie ** et de puiser la grâce des miracles auprès de toi.
    5. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
    6. Kondakion de la fête, ton 4 : Toi qui t’es volontairement élevé sur la croix, * accorde tes miséricordes au nouveau peuple * au nouveau peuple appelé de ton nom * accorde tes miséricordes ô Christ Dieu ; * donne ta force aux chrrétiens orthodoxes, * donne-leur la victoire sur l’Ennemi ; que ton alliance leur soit une arme de paix, ** une invincible victoire.

    Prokimen
    Du dimanche après l’Exaltation (de la fête), ton 7 :
    ℟. Exaltez le Seigneur notre Dieu, prosternez-vous devant son marchepied, car il est saint (Psaume 98, 5).
    ℣. Le Seigneur règne, que les peuples en soient émus de colère (Psaume 98, 1).
    De la mégalomartyre, ton 7 :
    ℟. Dieu est admirable dans ses saints, lui le Dieu d’Israël (Psaume 67, 36)

    Epîtres
    Du dimanche après l’Exaltation : Galates (§ 203) II, 16-20.
    Mais je suis mort à la loi par la loi même, afin de vivre pour Dieu. J’ai été crucifié avec le Christ.
    [Du dimanche : II Corinthiens (§ 170) I, 21 – II, 4.]
    [De la mégalomartyre : II Corinthiens (§ 181) VI, 1-10.
    Mais agissant en toutes choses comme des ministres de Dieu, nous nous rendons recommandables par une grande patience dans les maux, dans les nécessités, et dans les extrêmes afflictions.]

    Alleluia
    Du dimanche après l’Exaltation (de la fête), ton 1 :
    ℣. N’oublie pas ton peuple que tu as racheté dès l’origine (Psaume 72, 2).
    ℣. Dieu, qui est notre Roi depuis tant de siècles, a opéré notre salut au milieu de la terre (Psaume 72, 12).
    De la mégalomartyre, ton 1 :
    ℣. J’espérais le Seigneur d’un grand espoir, il s’est penché vers moi, et il écouta mon cri (Psaume 39, 1).

    Evangile
    Du dimanche après l’Exaltation : Marc (§ 37) VIII, 34 – IX, 1.
    Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à soi-même, qu’il porte sa croix, et qu’il me suive.
    [Du dimanche : Matthieu (§ 89) XXII, 1-14.]
    [De la mégalomartyre : Luc (§ 33) VII, 36-50.

    Verset de communion
    Du dimanche : Louez le Seigneur du haut des cieux, louez-le au plus haut des cieux.
    De la mégalomartyre : La mémoire du juste sera éternelle (Psaume 111, 6). Alleluia, alleluia, alleluia.

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    Programme du XVIIIème dimanche après la Pentecôte

    Saint-Eugène, le dimanche 22 septembre 2013, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h.

  • Entrée du clergé : orgue
  • Propre grégorien du jour – Kyriale : Missa XI Orbis factor
  • Credo I
  • Pendant les encensements de l’offertoire : Exultáte justi in Domino, motet sur le psaume 32 de Ludovico Grossi da Viadana (1564 † 1627), maître de chapelle de la cathédrale de Mantoue
  • A l’élévation : O salutaris – d’après Dimitri Bortniansky (1751 † 1825), maître de la chapelle impériale de Russie
  • Pendant la communion : Tollite hostias, chœur final de l’Oratorio de Noël de Camille Saint-Saëns (1835 † 1921), organiste de La Madeleine
  • Prière pour la France, faux-bourdon parisien du VIIème ton (d’après l’édition de 1739)
  • Ite missa est XI
  • Après le dernier Evangile : Sub tuum præsidium
  • Procession de sortie : Je vous salue avec amour – Angelus breton
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    Programme du XIIIème dimanche après la Pentecôte – saints Joachim & Anne – ton 4

    Saints Joachim & Anne, parents de la Mère de DieuParoisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le dimanche 22 septembre 2013 du calendrier grégorien – 9 septembre 2013 du calendrier julien, tierce & sexte à 8h55, divine liturgie de saint Jean Chrysostome à 9h15.

    Dimanche du ton IV de l’Octoèque. Le rit byzantin célèbre usuellement au lendemain des grandes fêtes les protagonistes secondaires de l’évènement qui vient d’être fêté. Aussi est-ce tout naturellement que les parents de la Mère de Dieu, saints Joachim & Anne, soient fêtés le 9 septembre, au lendemain de la grande fête de la Nativité de la Sainte Vierge.

    Nous sommes dans les 4 jours d’après-fête de la Nativité de la Mère de Dieu. Ce dimanche est aussi le dimanche avant la fête de l’Exaltation de la sainte Croix, d’où un prokimen, un alleluia & des lectures propres. Aussi ce dimanche combine le XIIIème dimanche après la Pentecôte, ton IV, l’après-fête de la Nativité, les saints Joachim & Anne et le dimanche avant la Croix.

    Aux heures
    A tierce : Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire des Saints. Et maintenant. Theotokion de tierce. Kondakion : du dimanche.
    A sexte: Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire de l’après-fête. Et maintenant. Theotokion de sexte. Kondakion : de la fête.

    Tropaires des Béatitudes : 4 tropaires du dimanche, ton 4, 4 tropaires de la 1ère ode du 1er canon de la fête & 4 tropaires de la 6ème ode du canon des Saints.

    A la petite entrée :
    1. Tropaire du dimanche, ton 4 : Ayant appris de l’Ange la prédication lumineuse de la Résurrection, * et le terme de l’ancestrale condamnation, * les femmes disciples du Seigneur * dirent, pleines de fierté, aux Apôtres : * “Renversée est la mort ! * Le Christ Dieu est ressuscité, ** donnant au monde sa grande miséricorde !”
    2. Tropaire de la fête, ton 4 : Ta nativité, Vierge Mère de Dieu, * a annoncé la joie à tout l’univers, * car de toi s’est levé le Soleil de Justice, le Christ notre Dieu, * qui, en détruisant la malédiction, nous a donné la bénédiction ; ** et en abolissant la mort, Il nous a donné la vie éternelle.
    3. Tropaire des Saints, ton 1 : Etant justes dans la grâce de la Loi, * Joachim & Anne pour nous ont fait naître l’enfant donné par Dieu ; * c’est pourquoi la sainte Eglise en ce jour, * exulte, radieuse, & fête dans la joie * votre mémoire vénérable, en louant Dieu ** qui nous suscite une force de salut dans la maison de David.
    4. Kondakion du dimanche, ton 4 : Mon Sauveur & mon libérateur * a ressuscité tous les mortels, * les arrachant par sa force divine aux chaînes du tombeau ; * il a brisé les portes de l’Enfer * et en maître souverain il est ressuscité le troisième jour.
    5. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit.
    6. Kondakion des Saints, ton 2 : Anne se réjouit maintenant * que les chaînes de sa stérilité sont brisées ; * elle nourrit la Vierge tout-immaculée, * invitant l’univers à célébrer * Celui qui donne aux hommes comme fruit de son sein ** la seule Vierge Mère et Epouse inépousée.
    7. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
    8. Kondakion de la fête, ton 4 : Joachim et Anne ont été délivrés de l’opprobre de la stérilité, * et Adam et Ève de la corruption de la mort, ô Immaculée, en ta sainte nativité ; * c’est elle que fête également ton peuple * libéré de la condamnation pour ses péchés, * en te criant : * « La stérile met au monde la Mère de Dieu, ** & la nourricière de notre vie ».

    Prokimen
    Du dimanche, ton 6 :
    ℟. Sauve, Seigneur ton peuple, et béni ton héritage (Psaume 27, 9).
    ℣. Vers Toi, Seigneur, j’appelle : mon Dieu, ne reste pas silencieux en face de moi (Psaume 27, 1).
    Des Saints, ton 4 :
    ℟. Dieu est admirable dans ses saints, lui le Dieu d’Israël (Psaume 67, 36).

    Epître
    Du dimanche avant la Croix: Galates (§ 215) VI, 11-18.
    Pour moi, à Dieu ne plaise que je me glorifie en autre chose qu’en la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est mort, crucifié pour moi, comme je suis mort, crucifié pour le monde !
    [Du dimanche.]
    [Des Ancêtres de Dieu : Philippiens (§ 210) IV, 22–31.
    Car il est écrit : Réjouis-toi, stérile, qui n’enfantais point ; pousse des cris de joie, toi qui ne devenais point mère : parce que celle qui était délaissée, a plus d’enfants que celle qui a un mari.]

    Alleluia
    Du dimanche avant la Croix, ton 1 :
    ℣. Il est bon de rendre grâce au Seigneur, de chanter pour ton Nom, ô Très-Haut, (Psaume 91, 1)
    ℣. de publier au matin ton amour, ta fidélité au long des nuits (Psaume 91, 2).
    De la Nativité de la Mère de Dieu
    ℣. Ecoute, ma fille, regarde & tends l’oreille, oublie ton peuple & la maison de ton père (Psaume 44, 11).

    Evangile
    Du dimanche avant la Croix : Jean (§ 9) III, 13-17.
    Et comme Moïse éleva dans le désert le serpent, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé en haut.
    [Du dimanche.]
    [Des Ancêtres de Dieu : Luc (§ 36) VIII, 16–21.
    Mais il leur répondit : Ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la pratiquent.]

    A la commémoraison de la Très-Sainte Mère de Dieu durant l’anaphore eucharistique, de la fête
    Verset : Magnifie, ô mon âme, la très glorieuse nativité de la Mère de Dieu.
    Hirmos de la 9ème ode du second canon de matines, œuvre de saint André de Crète, évêque de Gortyne (c. 660 † 740) : Étrangères aux mères, la virginité,* et étranger aux vierges, l’enfantement ; * mais en toi, Mère de Dieu, * les deux merveilles sont unies * et toutes les familles des nations, ** d’âge en âge nous te magnifions.

    Verset de communion
    Du dimanche : Louez le Seigneur du haut des cieux, louez-le au plus haut des cieux. (Psaume 148, 1).
    De la Nativité de la Mère de Dieu : J’élèverai la coupe du salut, j’invoquerai le nom du Seigneur (Psaume 115, 13). Alleluia, alleluia, alleluia.

    Programme de la fête de saint Matthieu – messe en la Basilique Saint-Remi de Reims

    Hendrick Ter Brugghen - l'appel de saint Matthieu - 1621 -Central Museum UtrechtBasilique Saint-Remi de Reims, le samedi 21 septembre 2013, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h.

    L’apôtre et Évangéliste Matthieu, appelé aussi Lévi, était assis à son comptoir, lorsque le Christ lui fit entendre son appel. Il le suivit sans tarder et le reçut à sa table, lui et les autres disciples. Après la résurrection du Christ, avant de quitter la Judée pour la contrée qui lui était échue à évangéliser, il écrivit le premier, en hébreu, l’Évangile de Jésus-Christ, pour les Juifs convertis. Puis il partit pour l’Éthiopie, où il prêcha la bonne nouvelle, confirmant sa doctrine par de nombreux miracles.
    IVème leçon des vigiles nocturnes de la fête, au second nocturne.

  • Procession d’entrée : Dixit Dominus – VIIIème ton – faux-bourdon parisien
  • Propre grégorien du jour – Ordinaire : Missa Exsultate Deo (1659) de François Cosset (c. 1600 † c. 1664), maître de chapelle de la cathédrale de Reims
  • Epître : Ezéchiel 1, 10-14 : Pour ce qui est de la forme qui y paraissait, ils avaient tous quatre une face d’homme, tous quatre à droite une face de lion, tous quatre à gauche une face de bœuf, et tous quatre au-dessus une face d’aigle.
  • Evangile : Matthieu IX, 9-13 : Jésus sortant de là, vit en passant un homme assis au bureau des impôts, nommé Matthieu, auquel il dit : Suis-moi. Et lui aussitôt se leva, et le suivit.
  • Pendant les encensements de l’offertoire : Exultáte justi in Domino, motet sur le psaume 32 de Ludovico Grossi da Viadana (1564 † 1627), maître de chapelle de la cathédrale de Mantoue
  • Pendant la communion : Tantum ergo sacramentum « mozarabe » – Sur le plain-chant des livres de Tolède – Tomás Luis de Victoria (1548 † 1611), maître de chapelle aux Descalzas Reales de Madrid
    Ave Maria – Tomás Luis de Victoria
  • Ite missa est IV
  • Après le dernier Evangile : Salve Regina
  • Procession de sortie : Laudes carolingiennes & station au tombeau de saint Remi
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    Programme de la fête de la Nativité de la Mère de Dieu

    Nativité de Notre Dame la Mère de Dieu & Très-Sainte Vierge Marie - 8 septembreParoisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le samedi 21 septembre 2013 du calendrier grégorien, 8 septembre 2013 du calendrier julien, tierce & divine liturgie de saint Jean Chrysostome à 10h.

    Nous fêtons en ce jour la fête de la Nativité de notre Très-Sainte Dame la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie.

    Cette fête, probablement d’origine hiérosolomytaine, a dû être introduite dans le synaxaire de Constantinople par l’empereur Maurice (582 † 602). Saint Jean Damascène (c. 676 † 749) en fait mention dans ses homélies, de même Saint André de Crète (660 † 740) :

    Aujourd’hui comme pour des noces, l’Eglise se pare de la perle inviolée, de la vraie pureté. Aujourd’hui, dans tout l’éclat de sa noblesse immaculée, l’humanité retrouve, grâce aux mains divines, son premier état et son ancienne beauté. Les hontes du péché avaient obscurci la splendeur et les charmes de la nature humaine ; mais, lorsque naît la Mère de celui qui est la Beauté par excellence, cette nature recouvre en elle ses anciens privilèges, elle est façonnée suivant un modèle parfait et entièrement digne de Dieu. Et cette formation est une parfaite restauration et cette restauration est une divinisation et cette divinisation, une assimilation à l’état primitif. Aujourd’hui, contre toute espérance, la femme stérile devient mère et cette mère, donnant naissance à une descendance qui n’a pas de mère, née elle-même de l’infécondité, a consacré tous les enfantements de la nature. Aujourd’hui est apparu l’éclat de la pourpre divine, aujourd’hui la misérable nature humaine a revêtu la dignité royale. Aujourd’hui, selon la prophétie, le sceptre de David a fleuri en même temps que le rameau toujours vert d’Aaron, qui, pour nous, a produit le Christ rameau de la force. Aujourd’hui, une jeune vierge est sortie de Juda et de David, portant la marque du règne et du sacerdoce de celui qui a reçu, suivant l’ordre de Melchisédech, le sacerdoce d’Aaron. Pour tout dire en un mot, aujourd’hui commence la régénération de notre nature, et le monde vieilli, soumis à une transformation divine, reçoit les prémices de la seconde création.

    Le Pape d’origine syrienne saint Serge Ier (c. 650 † 701) introduisit cette fête à Rome dans le rit romain, faisant précéder la messe d’une procession ; du reste le tropaire byzantin de la fête sert aussi d’antienne de Magnificat des secondes vêpres romaines. Saint Serge Ier mourut du reste le 8 septembre 701.

    Dans le rit byzantin, la fête de la Nativité de la Mère de Dieu est l’une des douze grandes fêtes de l’année liturgique. Elle est précédée d’un jour d’avant-fête (le 7 septembre) et de quatre jours d’après fête (clôture de la fête le 12 septembre).

    Aux heures
    Tropaire dde la fête. Gloire au Père. Et maintenant. Theotokion de l’heure. Kondakion : de la fête.

    Tropaires des Béatitudes : 4 tropaires de la 3ème ode du premier canon de la fête (œuvre de saint Jean Damascène) & 4 tropaires de la 6ème ode du second canon de la fête (œuvre de saint André de Crète) :
    1. Ayant vécu sans reproche devant Dieu, * ils ont mis au monde le salut de tous, * les parents de celle qui enfanta ** notre divin Créateur.
    2. Le Seigneur qui fait jaillir la vie pour tous * d’une stérile a fait naître * la Vierge dont il fit le lieu de son séjour, ** la gardant sans faille après l’enfantement.
    3. En ce jour sainte Anne donne un fruit, et c’est Marie, * celle qui produit le vivifiant Raisin : * chantons-la comme la Mère de Dieu, * le secours, la protection de l’univers.
    4. Seule Mère toujours-vierge, inépousée, * devenue l’encensoir d’or * de cette braise qu’est le Christ, ** sur mon cœur impur répands ton parfum.
    5. Nous chantons ta sainte nativité, * nous vénérons aussi ta virginale conception, * divine Epouse et Vierge inépousée ; ** avec nous exultent les Anges et les âmes des Saints.
    6. Vierge pure, plus sainte que les Saints, * tes chastes parents t’amenèrent au temple du Seigneur * pour y être élevée saintement ** et préparée à ta divine maternité.
    7. Stériles et mères, dansez de joie, * courage, exultez, les sans-enfants, * car la Stérile enfante la Mère de Dieu ** qui va délivrer Adam et Eve de la malédiction et des douleurs.
    8. J’entends David chanter à ton sujet : * A ta suite des vierges sont amenées * vers le palais du Roi ; et moi aussi, ** avec lui je te chante comme fille du Roi.

    A la petite entrée :
    1. Tropaire de la fête, ton 4 : Ta nativité, Vierge Mère de Dieu, * a annoncé la joie à tout l’univers, * car de toi s’est levé le Soleil de Justice, le Christ notre Dieu, * qui, en détruisant la malédiction, nous a donné la bénédiction ; ** et en abolissant la mort, Il nous a donné la vie éternelle.
    2. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
    3. Kondakion de la fête, ton 4 : Joachim et Anne ont été délivrés de l’opprobre de la stérilité, * et Adam et Ève de la corruption de la mort, ô Immaculée, en ta sainte nativité ; * c’est elle que fête également ton peuple * libéré de la condamnation pour ses péchés, * en te criant : * « La stérile met au monde la Mère de Dieu, ** & la nourricière de notre vie ».

    Prokimen
    De la fête, ton 3 :
    ℟. Mon âme magnifie le Seigneur, et mon esprit est ravi de joie en Dieu mon Sauveur (Luc 1, 46).
    ℣. Il s’est penché sur son humble servante, désormais tous les âges me diront bienheureuse (Luc 1, 47).

    Epîtres
    De la fête : Philippiens (§ 240) II, 5-11.
    Mais il s’est anéanti lui-même en prenant la forme et la nature de serviteur, en se rendant semblable aux hommes, et étant reconnu pour homme par tout ce qui a paru de lui au dehors.

    Alleluia
    De la fête, ton 8 :
    ℣. Ecoute, ma fille, regarde et tends l’oreille. (Psaume 44, 11).
    ℣. Les peuples les plus riches chercheront ta faveur (Psaume 44, 13.)

    Evangile
    De la fête : Luc (§ 54) X, 38-42; XI, 27-28.
    Jésus lui dit : Mais plutôt heureux ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la pratiquent !

    Verset de communion
    De la fête : J’élèverai la coupe du salut, j’invoquerai le nom du Seigneur (Psaume 115, 13). Alleluia, alleluia, alleluia.

    Fichier PDF du livret des choristes.

    Enregistrement : sainte messe du XVIIème dimanche après la Pentecôte – Le plus grand commandement

    L’enregistrement de cette messe :

    Le sermon de M. l’Abbé Faure, curé :

    Simon Vouet, la Charité céleste

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    Les fichiers sont téléchargeables ici.

    Messe en la basilique Saint-Remi de Reims le 21 septembre à 11h30

    La sortie paroissiale de rentrée de la paroisse Saint-Eugène – Sainte Cécile s’effectue à Reims le 21 septembre 2013 prochain, en la fête de l’apôtre saint Matthieu (mémoire du samedi des Quatre-Temps de septembre).

    Nous aurons la joie de chanter la sainte messe (rit traditionnel) dans la basilique Saint-Remi de Reims le 21 septembre 2013 à 11h30.

    La Schola Sainte Cécile interprètera à cette occasion la Missa Exsultate Deo de François Cosset, (c. 1610 † c. 1664), maître de chapelle de la cathédrale de Reims. Cette messe a été publiée en 1659 chez Robert Ballard.

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