Programme du XIIème dimanche après la Pentecôte – Rencontre de l’icône de Notre Dame de Vladimir qui repoussa Tamerlan – ton 3

Icône de la Mère de Dieu de VladimirParoisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le dimanche 8 septembre 2019 du calendrier grégorien – 26 août 2019 du calendrier julien, tierce & sexte à 8h55, divine liturgie de saint Jean Chrysostome à 9h15.

Dimanche du ton III de l’Octoèque. Nous fêtons aussi en ce jour le miracle de l’icône de Notre-Dame de Vladimir, qui sauva Moscou de l’invasion de Tamerlan l’an 1395.

L’icône de la Mère de Dieu de Vladimir est l’une des plus vénérées de Russie. Le grand-duc Iouri Dolgorouki de Kiev l’a reçue en présent de Luc Chrysoberges, patriarche de Constantinople, vers 1131. Ce prince la fit placer dans le monastère de femmes Mejihirski près de Kiev jusqu’à ce que son fils Andreï Bogolioubski la porte dans sa ville préférée, Vladimir, en 1155. Lorsque les chevaux qui transportaient l’icône s’arrêtèrent près de Vladimir et refusèrent d’aller plus loin, ceci fut interprété comme un signe que la Theotokos voulait que l’icône reste à cet endroit aux abords de la ville. Andreï Bogolioubski fit construire à cet emplacement la grande cathédrale de l’Assomption de Vladimir de 1158 à 1160 pour abriter l’icône, et cet évènement entraîna par la suite la consécration de nombreuses autres églises à la Mère de Dieu dans tout le nord-ouest de la Russie. En 1164, l’icône de la Vierge de Vladimir accompagnait ce même prince André Bogolioubski dans sa marche victorieuse contre les Bulgares de la Volga. Elle sera miraculeusement épargnée pendant l’incendie qui ravagea la cathédrale de Vladimir le 13 avril 1185 et ne subit aucun dommage lors du sac de la ville le 7 février 1238 par les troupes mongoles, qui incendièrent pourtant la cathédrale, dans laquelle périrent la princesse Agatha Vsevolodovna et le reste de la famille princière.

En 1395, le terrible et sanguinaire Tamerlan menace Moscou avec ses hordes turco-mongoles musulmanes. On fait alors venir l’icône sacrée de Vladimir, protectrice de la Sainte Russie. Une grande procession du clergé et de la population de Moscou vint l’accueillir à une porte de la ville le 26 août 1395. Le lieu de cette sainte rencontre (Сре́тение / sretenie en slavon) en prit le nom : c’est l’actuelle rue Sretenka de Moscou, où s’élève le très beau monastère Sretensky, haut lieu de l’actuelle renaissance spirituelle russe, également réputé pour l’excellence de son chœur liturgique. Ce monastère fut élevé pour commémorer cette rencontre de la Mère de Dieu et du peuple de Moscou suppliant de lui venir en aide.

Après ce miracle, les Moscovites refusèrent de restituer l’icône à la ville de Vladimir et elle demeura dans la cathédrale de la Dormition du Kremlin de Moscou, devenant l’icône despotique de son iconostase. C’est devant elle que se déroulaient les grands actes de la vie du pays, tels que le couronnement du tsar ou l’élection du patriarche. Elle devint l’objet de pèlerinages populaires. Pour ne pas priver totalement les habitants de Vladimir, leur icône y retourna maintes fois, surtout lors des pénibles années de l’invasion tatare. Le prince Basile en fit peindre par ailleurs une copie par saint André Roublev, copie destinée à la cathédrale de la Dormition à Vladimir.

Par la suite, outre ce miracle de 1385, l’icône fut à l’origine de nombreuses délivrances miraculeuses de Moscou face aux envahisseurs musulmans :

  • En 1408 : siège de Moscou par le khan Edigueï
  • En 1451 : siège de Moscou par Mazovcha, le fils du khan de Nagaï. Le métropolite Jonas ordonne une procession sur les remparts avec l’icône de la Mère de Dieu et les forces islamiques lèvent le siège.
  • En 1459 : siège de Moscou par le khan de Nagaï voulant laver l’humiliation de son fils en 1451. Ivan III le met en déroute.
  • En 1480 : siège de Moscou par le khan Ahmat de la Grande Horde.
  • En 1521 : siège de Moscou par Mahmet Guireï. Les troupes russes, inférieures en nombre, parvinrent à encercler les troupes tatares et celles-ci fuirent de façon désorganisée.

En hommage à ces miracles, l’église russe fête trois fois par an les principaux miracles de l’icône de la Vierge de Vladimir : le 21 mai (miracle de 1521), le 23 juin (miracle de 1480) et le 26 août (miracle de 1395). Le miracle de 1451 a eu lieu le jour de la fête de la Déposition du vêtement de la Mère de Dieu dans l’église des Blachernes à Constantinople, il ne possède pas de fête propre.

Après la révolution bolchevique, l’icône fut spoliée par les communistes dès 1918 ; elle fut déposée en 1926 au Musée historique d’Etat puis depuis 1930 à la Galerie Tretyakov de Moscou, qui en est toujours le dépositaire officiel.

On raconte en Russie qu’en décembre 1941, alors que les Allemands approchaient de Moscou, Staline aurait ordonné que l’icône fût placée dans un avion qui ferait le tour de la capitale assiégée. L’armée allemande commença à se retirer quelques jours après.

Comme pour d’autres icônes célèbres (celle de la Trinité écrite par saint André Roublev par exemple), se posa dans les années 1990 le délicat problème de la restitution par la Galerie Tretyakov de ces biens spoliés qui constituent à la fois des trésors artistiques – fleurons de la célèbre galerie – mais sont aussi des joyaux pour la piété des fidèles croyants. Une solution juridique originale a été mise en place en 1999 : l’église Saint-Nicolas de Tolmachi, appartenant à la Galerie Tretyakov, expose désormais l’icône de la Vierge de Vladimir et d’autres trésors religieux célèbres de la galerie. L’église a été reconsacrée et les offices y sont célébrés quotidiennement ; elle est ouverte à la visite touristique en dehors des offices. En outre, l’icône miraculeuse de Notre Dame de Vladimir est aussi régulièrement transférée à la cathédrale de la Dormition du Kremlin pour les grandes fêtes solennelles.

Icône de la Mère de Dieu de Vladimir (détail)Le modèle de l’icône est du type Eleusa – Vierge de tendresse -, la joue du l’Enfant est serrée contre celle de sa Mère dans un geste d’amour et d’affection.

Le prototype de la Vierge de Vladimir est identifiable par une particularité dans la représentation du pied gauche de l’Enfant-Jésus (son pied gauche est replié ce qui laisse voir la plante de face).

Les analyses tant historiques que scientifiques établissent que l’icône de la Vierge de Vladimir a été composé à la fin du XIème siècle ou au début du XIIème siècle par un ou des maîtres de l’école byzantine de Constantinople. Les spécialistes la considèrent comme l’icône la plus importante de la période comnénienne du point de vue artistique. La taille initiale de l’icône est de 78 cm x 55 cm. La planche de tilleul à une épaisseur de 2,7 cm. Elle a été augmentée pour mesurer 104 cm x 69 cm (probablement pour faciliter son insertion dans une iconostase). Elle possède de ce fait une arche profonde et des champs larges.

L’icône présente la particularité d’être écrite sur les deux faces. Le verso, qui représente un autel byzantin avec l’évangéliaire, la croix & les instruments de la Passion, date du début du XVème siècle. Cette image a été peinte par l’école d’iconographie de Moscou.

L’icône de Notre-Dame de Vladimir exprime profondément le sentiment d’amour maternel de la Mère de Dieu mais aussi son anxiété vis-à-vis de son enfant. Elle transcrit de manière claire mais pourtant retenue l’intensité des émotions. Prions la Mère de Dieu qu’elle daigne continuer à nous protéger de nos dangers présents par sa maternelle protection.

*

Saint Adrien et sainte Nathalie de NicomédieEn ce jour nous fêtons également saint Adrien de Nicomédie, sainte Nathalie, & leurs 23 compagnons, martyrs à Nicomédie au IVème siècle.

Adrien était un païen, officier de l’armée romaine âgé de 28 ans, et vivait à Nicomédie avec son épouse chrétienne Nathalie au début du IVème siècle. Lors des grandes persécutions déclenchées par Dioclétien et poursuivies par Galère, il fut impressionné par le courage de vingt-trois chrétiens de Nicomédie que l’empereur avait ordonné de supplicier en les faisant fouetter à coups de nerfs, en leur broyant la bouche avec des pierres, puis en les emprisonnant après leur avoir mis le garrot. Ayant assisté à leur supplice, Adrien leur demanda : “Pour quelle raison endurez-vous ces supplices intolérables et ces terribles tortures ?” Ils répondirent : “Nous endurons tout cela pour gagner les délices réservées par Dieu à ceux qui souffrent pour Lui, délices que ni l’ouïe ne peut entendre, ni la parole exprimer (cf. I Corinthiens II, 9).”

L’âme illuminée par la grâce divine, Adrien demanda alors aux scribes de joindre son nom à celui des chrétiens : “Ce sera pour moi un plaisir de mourir avec eux pour l’amour du Christ !” s’écria-t-il. Il fut aussitôt chargé d’entraves et jeté en prison, dans l’attente du jugement. Quelque temps après, l’empereur fit comparaître devant lui Adrien en présence de ses compagnons pour le faire fouetter ; les coups furent si violents qu’à la fin les entrailles d’Adrien sortaient de son corps. Puis Adrien et ses compagnons furent de nouveau jetés en prison.

Des matrones, dont Nathalie, femme d’Adrien, soignaient en cachette les martyrs dans leur prison, mais lorsque l’empereur l’apprit il leur en interdit l’accès. Nathalie se coupa alors les cheveux, et revêtant des habits masculins, elle réussit à pénétrer dans la prison et prit soin des martyrs. Elle fut bientôt imitée par les autres pieuses femmes. Informé qu’on avait réussi à détourner ses prescriptions et que les détenus jouissaient de quelque consolation dans leurs souffrances, Maximien ordonna de leur broyer les jambes dans des étaux, de leur trancher les pieds puis les jambes – et une fois morts – qu’on fasse brûler leur corps (toutefois la pluie éteignit le feu). Adrien fut le premier supplicié et on lui coupa également une main.

Reliquaire de saint Adrien et sainte Nathalie - c. 1150 - Conservée au Art Institute of ChicagoUne partie des reliques de saint Adrien furent apportées en 630 à Rome où fut édifiée à cette occasion par le pape Honorius Ier l’église de Saint-Adrien au Forum (Sant’Adriano al Foro) dans les ruines de l’ancienne Curie construite par Jules César. Cette église sert de titre pour un cardinal diacre de l’Eglise romaine. Le souvenir de cette translation est conservé au 8 septembre par le rit romain. Le reste des reliques de sainte Nathalie et de saint Adrien ont été transférées en 1110 de Constantinople dans l’abbaye qu’avait fondée en 1068 le comte Baudouin VI de Flandre à Grammont (actuelle Belgique), lieu qui prit dès lors le nom d’Abbaye Saint-Adrien de Grammont.

En raison de son supplice devant l’empereur, saint Adrien est traditionnellement invoqué en France pour la guérison des maux de ventre. En Occident, il est aussi saint patron des soldats & des bouchers.

Aux heures
A tierce : Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire du Précurseur. Et maintenant. Theotokion de l’heure. Kondakion : du dimanche.
A sexte : Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire du Précurseur. Et maintenant. Theotokion de l’heure. Kondakion : du Précurseur.

A la divine liturgie

Tropaires des Béatitudes : 6 tropaires du dimanche, ton 3, et 4 tropaires de la 3ème ode du canon de la Mère de Dieu :
1. Adam, notre premier père, ayant transgressé ton commandement, * ô Christ, tu l’as chassé du Paradis ; * mais, compatissant, tu fis entrer le bon Larron * te confessant sur la croix et criant : * Souviens-toi de moi, Sauveur, ** quand tu entreras dans ton royaume.
2. Pour notre faute, tu nous condamnas * à la malédiction de la mort, Seigneur source-de-vie ; * mais, souffrant dans ton corps, Maître sans péché, * tu fis revivre les morts qui s’écrièrent : * Souviens-toi de nous aussi ** quand tu entreras dans ton royaume.
3. Ressuscité d’entre les morts, tu nous sauvas de nos passions, * Seigneur, par ta sainte Résurrection ; * et, Sauveur, tu as détruit toute la puissance de la mort ; * c’est pourquoi nous, les fidèles, te crions : * Souviens-toi de nous aussi ** quand tu entreras dans ton royaume.
4. Par ta sépulture de trois jours tu éveillas, * Dieu, les morts qu’aux Enfers tu vivifias ; * et, dans ta bonté, tu fus la source de l’immortelle vie * pour nous tous, fidèles, qui sans cesse te crions : * Souviens-toi de nous aussi ** quand tu entreras dans ton royaume.
5. Aux Myrophores tu apparus d’abord, * Sauveur ressuscité d’entre les morts, * leur criant : Réjouissez-vous ! * et par elles, ô Christ, tu révèles ton éveil à tes amis ; * aussi te crions-nous : * Souviens-toi de nous aussi ** quand tu entreras dans ton royaume.
6. Sur la montagne Moïse, étendant les bras, préfigurait la croix et triomphait d’Amalec ; * nous-mêmes, nous la prenons pour combattre les démons * et tous ensemble avec foi te crions : * Souviens-toi de nous aussi ** quand tu entreras dans ton royaume.
7. Laissant de côté toute pensée terrestre, * ô toi divinement sage, * viens saluer le bien-aimé rayon * qui tient le Rayon tout-lumineux ** qui illumine et enrichit le monde entier avec miséricorde.
8. Après avoir acquis ta plus précieuse & plus merveilleuse icône * comme une alliée puissante et un rempart inexpugnable, ô Mère de Dieu, * les princes de Russie te prient de bien vouloir accorder victoire sur toutes les hérésies ** à nos pieux hiérarques orthodoxes.
9. Tu t’es montrée telle un nuage radieux * qui nettoie les impuretés de nos corps avec la rosée de la grâce et l’illumination de nos âmes, ** ô toi seule qui es la plus louée. 
10. Tu t’es révélée comme un arbre des plus fructueux, * ravissant tous avec de la nourriture qui ne périt pas, * et réjouissant les âmes des hommes, ô pure épouse de Dieu. * Déverse de bons dons sur tous, ** et sauve-nous des tribulations violentes.

A la petite entrée :
1. Tropaire du dimanche, ton 3 : Que les Célestes soient en liesse ! * Que les terrestres se réjouissent ! * Car le Seigneur a établi son Règne par son bras, * terrassant la mort par la mort, * Lui le Premier-Né d’entre les morts. * Il nous libère du ventre de l’enfer, ** et offre au monde la grande miséricorde.
2. Tropaire de la Mère de Dieu, ton 4 :En ce jour rayonne l’illustre cité de Moscou, * car elle a reçu comme un rayon de soleil, notre Dame, ton icône miraculeuse, * vers laquelle nous accourons * en te priant et en nous écriant : * ô très merveilleuse Souveraine Mère de Dieu, * prie Celui qui s’est incarné de toi, le Christ notre Dieu, * de protéger cette cité, & toutes les cités et pays chrétiens, * de toutes les embûches des ennemis, ** et qu’Il sauve nos âmes, car Il est miséricordieux.
3. Tropaire des martyrs, ton 4 : Tes Martyrs, Seigneur, * pour le combat qu’ils ont mené ont reçu la couronne d’immortalité de toi, notre Dieu ; * animés de ta force, ils ont terrassé les tyrans * et réduit à l’impuissance l’audace des démons ; ** par leurs prières sauve nos âmes.
4. Kondakion du dimanche, ton 3 : Tu es ressuscité aujourd’hui du tombeau, ô Miséricordieux, * et Tu nous as écartés des portes de la mort. * Aujourd’hui Adam exulte et Ève se réjouit ; * avec eux prophètes et patriarches ne cessent de chanter ** la force divine de ta puissance.
5. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit.
6. Kondakion des martyrs, ton 4 : Témoin du Christ, accueillant dans ton cœur les saints propos * de ta pieuse femme, Adrien, * tu courus au-devant des tourments ; ** avec elle tu reçus la couronne des Martyrs.
7. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
8. Kondakion de la Mère de Dieu, ton 8 : À toi, vaillante Stratège, * nous offrons l’hymne de victoire. * Délivrés des malheurs par la venue de ta précieuse icône, ô Souveraine Mère de Dieu, * nous commémorons joyeusement la fête de ta rencontre, * et comme à l’habitude, nous te clamons : réjouis-toi, Épouse inépousée !

Prokimen
Du dimanche, ton 3 :
℟. Sonnez pour notre Dieu, sonnez ; sonnez pour notre Roi, sonnez ! (Psaume 46, 7).
℣. Tous les peuples, battez des mains, acclamez Dieu par vos cris de joie ! (Psaume 46, 2).
Autre prokimen de la Mère de Dieu, ton 3 :
℟. Mon âme magnifie le Seigneur, et mon esprit est ravi de joie en Dieu mon Sauveur (Luc 1, 46).

Epîtres
Du dimanche : I Corinthiens (§ 158) XV, 1-11.
Car, premièrement, je vous ai donné ce que j’avais moi-même reçu ; savoir : Que le Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures ; qu’il a été enseveli, et qu’il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures.
De la Mère de Dieu : Philippiens (§ 240) II, 5-11.
Mais il s’est anéanti lui-même en prenant la forme et la nature de serviteur, en se rendant semblable aux hommes, et étant reconnu pour homme par tout ce qui a paru de lui au dehors.

Alleluia
Du dimanche, ton 3 :
℣. En toi, Seigneur, j’ai mon abris ; sur moi pas de honte à jamais (Psaume 30, 2).
℣. Sois pour moi un Dieu qui me défend, un lieu fort qui me sauve (Psaume 30, 3).
De la Mère de Dieu, ton 8 :
℣. Ecoute, ma fille, regarde & tends l’oreille, oublie ton peuple & la maison de ton père (Psaume 44, 11).

Evangiles
Du dimanche : Matthieu (§ 79) XIX, 16-26.
Et Jésus dit à ses disciples : Je vous dis en vérité, qu’il est bien difficile qu’un riche entre dans le royaume des cieux.
De la Mère de Dieu : Luc (§ 54) X, 38-42; XI, 27-28.
Jésus lui dit : Mais plutôt heureux ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la pratiquent !

Verset de communion
Du dimanche : Louez le Seigneur du haut des cieux, louez-le au plus haut des cieux.
De la Mère de Dieu : J’élèverai la coupe du salut, j’invoquerai le nom du Seigneur (Psaume 115, 13). Alleluia, alleluia, alleluia.

Télécharger le livret des choristes pour ce dimanche.

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