Saint-Eugène, le dimanche 30 décembre 2012, grand’messe de 11h.
La grandeur des œuvres divines est, mes très chers frères, bien au-dessus des ressources de l’éloquence humaine, et la difficulté de s’exprimer vient ici de la raison même qui nous défend de garder le silence ; car ces paroles du Prophète : « Qui racontera sa génération ? » se doivent entendre non seulement de la divine essence de Jésus-Christ, mais aussi de la nature humaine qui est en lui. Si la foi ne croit que ces deux natures sont unies dans une seule personne, la parole ne peut l’expliquer. Aussi ce sujet de louanges est-il intarissable, parce que le talent de celui qui loue reste toujours insuffisant.
Sermon de saint Léon, pape, IVème leçon des vigiles nocturnes de Noël, au second nocturne.
Procession d’entrée : Adeste fideles – cantique du XVIIIème siècle, harmonisation de Théodore Dubois
Kyriale VIII – De Angelis
Séquence de Noël : Votis Pater annuis – prose du propre de Paris – selon la tradition, l’orgue chante les versets impairs – traduction du XVIIIème siècle
Credo III
Après la Consécration : O salutaris sur le vieux noël « A la venue de Noël » – Henri de Villiers
Pendant la communion : Puer natus in Bethleem – Joseph Rheinberger (1839 † 1901), organiste de Vaduz, op. 118 n°6
Prière pour la France, sur le ton royal – harmonisation traditionnelle de Notre-Dame de Paris
Ite missa est VIII
Au dernier Evangile : Alma Redemptoris Mater
Procession de sortie : Silence, ciel ! silence, terre ! – Noël de Normandie du XVIIIème siècle – harmonisation – Henri de Villiers
Télécharger le livret de cette messe au format PDF.