Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Horaires de la Semaine Sainte à la paroisse byzantine russe catholique de la Très-Sainte Trinité

La lumineuse résurrection du Christ

La Semaine Sainte ou Grande Semaine est le sommet de l’année liturgique et nous fait revivre les mystères de notre Rédemption. Nous sommes heureux de vous accueillir à cette occasion pour prier avec nous à l’un ou l’autre de nos offices célébrés dans le rit byzantin et partager avec vous la grande joie de Pâques, vous êtes les bienvenus !

Cette année, les calendriers julien et grégorien voient le décalage maximum possible : cinq semaines !

Voici les horaires des offices célébrés à la Paroisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité (avec leurs équivalents latins entre parenthèses) :

28 avril – ENTREE DU SEIGNEUR A JERUSALEM
9h : matines avec bénédiction et distribution des rameaux puis liturgie de saint Jean Chrysostome, célébrée par Mgr Hlib Lonchyna, évêque émérite de Londres (matines et messe du dimanche des Rameaux)

1er mai – GRAND & SAINT MERCREDI
18h30 : vêpres & liturgie des présanctifiés (messe du Mercredi Saint)

2 mai – GRAND & SAINT JEUDI
12h : vêpres & liturgie de saint Basile le Grand (Messe de la Cène du Seigneur au Jeudi Saint)
19h : matines des 12 évangiles : matines des souffrances du Christ avec les lectures de la Passion (office de Ténèbres du Vendredi Saint)

3 mai – GRAND & SAINT VENDREDI
12h : vêpres de l’ensevelissement du Christ (vêpres du Vendredi Saint)
19h : matines devant le tombeau du Christ (office de Ténèbres du Samedi Saint)

4 mai – GRAND & SAINT SAMEDI
10h : vêpres & liturgie de saint Basile le Grand (vigile pascale)

Dans la nuit du 4 au 5 mai – PAQUES – LA LUMINEUSE RESURRECTION DU CHRIST – ПАСХА – СВЕТЛОЕ ХРИСТОВО ВОСКРЕЦЕНИЕ
21h : office de minuit
21h30 : procession pascale – matines de la résurrection – divine liturgie de Pâques de saint Jean Chrysostome, suivie des agapes paroissiales (procession & matines du jour de Pâques, suivies de la messe du jour de Pâques)

L’évènement sur Facebook.

Programme de la Vigile pascale

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 30 mars 2024, vigile pascale de 15h.
Répétition pour les choristes à 10h30. Atelier de décoration des œufs de Pâques à 13h.

A l’heure de None (trois heures de l’après-midi), l’Évêque se rend avec tout le clergé à l’Église, et c’est à ce moment que commence la Veille du Samedi saint.”
Dom Guéranger, l’Année liturgique.

Conçu de nouveau dans l’eau fécondée par le Saint-Esprit, le fils d’Adam, né pour la mort, renaît à la vie par le Christ. Hâtons-nous donc de rompre notre jeûne solennel ; car le Christ notre Pâque a été immolé. Non seulement nous sommes conviés au festin du corps de l’Agneau, mais nous devons encore nous enivrer de son sang. Ce breuvage n’est point imputé à crime pour ceux qui le boivent, mais il est en eux le principe du salut. Nourrissons-nous aussi de celui qui est l’Azyme ; car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu. Le Christ est le pain descendu du ciel, bien supérieur à celui qui pleuvait du ciel dans la manne, et dont Israël fit son festin pour mourir ensuite. Celui dont ce corps sacré est l’aliment devient possesseur de l’éternelle vie.

Les choses anciennes ont disparu, tout est devenu nouveau : le couteau de la circoncision mosaïque est émoussé, et le rude tranchant de la pierre employée par Josué est hors d’usage. C’est au front et non en secret, que le peuple du Christ reçoit sa marque glorieuse ; c’est par un bain et non par une blessure, par le Chrême et non par le sang.

Il convient donc, en ce soir de la résurrection de notre Seigneur et Sauveur, d’allumer un flambeau dont la blancheur flatte les regards, dont le parfum réjouisse l’odorat, dont l’éclat illumine, dont la matière ne cause pas de dégoût, dont la flamme n’exhale pas une noire fumée. Quoi, en effet, de plus convenable, de plus joyeux, que de célébrer les veilles de la nuit en l’honneur de celui qui est la fleur de Jessé, avec des torches dont la matière est empruntée aux fleurs ? La Sagesse a chanté, parlant d’elle-même : Je suis la fleur des champs et le lis des vallons. La cire n’est point une sueur arrachée au pin par le feu ; elle n’est point une larme enlevée au cèdre par les coups répétés de la hache ; sa source est mystérieuse et virginale ; et si elle éprouve une transformation, c’est en prenant la blancheur de la neige. Devenue liquide par la fusion, sa surface est unie comme le papyrus ; pareille à l’âme innocente, aucune division ne vient la briser, et sa substance, toujours pure, descend en ruisseaux pour devenir l’aliment de la flamme.”

Extrait de la liturgie du Samedi Saint dans le rit ambrosien.

Pour en savoir plus sur la liturgie du Samedi Saint (Vigile pascale) et son horaire antique après None (15h de l’après-midi).

A la vigile pascale :

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Programme de la Vigile pascale

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 8 avril 2023, vigile pascale de 15h.
Répétition pour les choristes à 10h30.

A l’heure de None (trois heures de l’après-midi), l’Évêque se rend avec tout le clergé à l’Église, et c’est à ce moment que commence la Veille du Samedi saint.”
Dom Guéranger, l’Année liturgique.

Conçu de nouveau dans l’eau fécondée par le Saint-Esprit, le fils d’Adam, né pour la mort, renaît à la vie par le Christ. Hâtons-nous donc de rompre notre jeûne solennel ; car le Christ notre Pâque a été immolé. Non seulement nous sommes conviés au festin du corps de l’Agneau, mais nous devons encore nous enivrer de son sang. Ce breuvage n’est point imputé à crime pour ceux qui le boivent, mais il est en eux le principe du salut. Nourrissons-nous aussi de celui qui est l’Azyme ; car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu. Le Christ est le pain descendu du ciel, bien supérieur à celui qui pleuvait du ciel dans la manne, et dont Israël fit son festin pour mourir ensuite. Celui dont ce corps sacré est l’aliment devient possesseur de l’éternelle vie.

Les choses anciennes ont disparu, tout est devenu nouveau : le couteau de la circoncision mosaïque est émoussé, et le rude tranchant de la pierre employée par Josué est hors d’usage. C’est au front et non en secret, que le peuple du Christ reçoit sa marque glorieuse ; c’est par un bain et non par une blessure, par le Chrême et non par le sang.

Il convient donc, en ce soir de la résurrection de notre Seigneur et Sauveur, d’allumer un flambeau dont la blancheur flatte les regards, dont le parfum réjouisse l’odorat, dont l’éclat illumine, dont la matière ne cause pas de dégoût, dont la flamme n’exhale pas une noire fumée. Quoi, en effet, de plus convenable, de plus joyeux, que de célébrer les veilles de la nuit en l’honneur de celui qui est la fleur de Jessé, avec des torches dont la matière est empruntée aux fleurs ? La Sagesse a chanté, parlant d’elle-même : Je suis la fleur des champs et le lis des vallons. La cire n’est point une sueur arrachée au pin par le feu ; elle n’est point une larme enlevée au cèdre par les coups répétés de la hache ; sa source est mystérieuse et virginale ; et si elle éprouve une transformation, c’est en prenant la blancheur de la neige. Devenue liquide par la fusion, sa surface est unie comme le papyrus ; pareille à l’âme innocente, aucune division ne vient la briser, et sa substance, toujours pure, descend en ruisseaux pour devenir l’aliment de la flamme.”

Extrait de la liturgie du Samedi Saint dans le rit ambrosien.

Pour en savoir plus sur la liturgie du Samedi Saint (Vigile pascale) et son horaire antique après None (15h de l’après-midi).

A la vigile pascale :

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Horaires de la Semaine Sainte à la paroisse byzantine russe catholique de la Très-Sainte Trinité

Descente aux Enfers & résurrectionLa Semaine Sainte ou Grande Semaine est le sommet de l’année liturgique et nous fait revivre les mystères de notre Rédemption. Nous sommes heureux de vous accueillir à cette occasion pour prier avec nous à l’un ou l’autre de nos offices célébrés dans le rit byzantin et partager avec vous la grande joie de Pâques, vous êtes les bienvenus !

Cette année, les calendriers julien et grégorien sont décalés d’une semaine.

Voici les horaires des offices célébrés à la Paroisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité (avec leurs équivalents latins entre parenthèses) :

17 avril – DIMANCHE DES RAMEAUX
9h : matines avec bénédiction et distribution des rameaux puis liturgie de saint Jean Chrysostome (matines et messe du dimanche des Rameaux)

18 avril – GRAND & SAINT LUNDI
18h30 : vêpres & liturgie des présanctifiés (messe du Lundi Saint)

19 avril – GRAND & SAINT MARDI
18h30 : vêpres & liturgie des présanctifiés (messe du Mardi Saint)

20 avril – GRAND & SAINT MERCREDI
18h30 : vêpres & liturgie des présanctifiés (messe du Mercredi Saint)

21 avril – GRAND & SAINT JEUDI
12h : vêpres & liturgie de saint Basile le Grand (Messe de la Cène du Seigneur au Jeudi Saint)
18h : matines des 12 évangiles : matines des souffrances du Christ avec les lectures de la Passion (office de Ténèbres du Vendredi Saint)

22 avril – GRAND & SAINT VENDREDI
12h : vêpres de l’ensevelissement du Christ (vêpres du Vendredi Saint)
19h : matines devant le tombeau du Christ (office de Ténèbres du Samedi Saint)

23 avril – GRAND & SAINT SAMEDI
10h : vêpres & liturgie de saint Basile le Grand (vigile pascale)

Dans la nuit du 23 au 24 avril – PAQUES – LA LUMINEUSE RESURRECTION DU CHRIST
ПАСХА – СВЕТЛОЕ ХРИСТОВО ВОСКРЕЦЕНИЕ
21h30 : office de minuit
22h : procession pascale – matines de la résurrection – divine liturgie de Pâques de saint Jean Chrysostome, suivie des agapes paroissiales (procession & matines du jour de Pâques, suivies de la messe du jour de Pâques

L’évènement sur Facebook.

Programme de la Vigile pascale

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 16 avril 2022, vigile pascale de 15h.
Répétition pour les choristes à 10h.

A l’heure de None (trois heures de l’après-midi), l’Évêque se rend avec tout le clergé à l’Église, et c’est à ce moment que commence la Veille du Samedi saint.”
Dom Guéranger, l’Année liturgique.

Conçu de nouveau dans l’eau fécondée par le Saint-Esprit, le fils d’Adam, né pour la mort, renaît à la vie par le Christ. Hâtons-nous donc de rompre notre jeûne solennel ; car le Christ notre Pâque a été immolé. Non seulement nous sommes conviés au festin du corps de l’Agneau, mais nous devons encore nous enivrer de son sang. Ce breuvage n’est point imputé à crime pour ceux qui le boivent, mais il est en eux le principe du salut. Nourrissons-nous aussi de celui qui est l’Azyme ; car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu. Le Christ est le pain descendu du ciel, bien supérieur à celui qui pleuvait du ciel dans la manne, et dont Israël fit son festin pour mourir ensuite. Celui dont ce corps sacré est l’aliment devient possesseur de l’éternelle vie.

Les choses anciennes ont disparu, tout est devenu nouveau : le couteau de la circoncision mosaïque est émoussé, et le rude tranchant de la pierre employée par Josué est hors d’usage. C’est au front et non en secret, que le peuple du Christ reçoit sa marque glorieuse ; c’est par un bain et non par une blessure, par le Chrême et non par le sang.

Il convient donc, en ce soir de la résurrection de notre Seigneur et Sauveur, d’allumer un flambeau dont la blancheur flatte les regards, dont le parfum réjouisse l’odorat, dont l’éclat illumine, dont la matière ne cause pas de dégoût, dont la flamme n’exhale pas une noire fumée. Quoi, en effet, de plus convenable, de plus joyeux, que de célébrer les veilles de la nuit en l’honneur de celui qui est la fleur de Jessé, avec des torches dont la matière est empruntée aux fleurs ? La Sagesse a chanté, parlant d’elle-même : Je suis la fleur des champs et le lis des vallons. La cire n’est point une sueur arrachée au pin par le feu ; elle n’est point une larme enlevée au cèdre par les coups répétés de la hache ; sa source est mystérieuse et virginale ; et si elle éprouve une transformation, c’est en prenant la blancheur de la neige. Devenue liquide par la fusion, sa surface est unie comme le papyrus ; pareille à l’âme innocente, aucune division ne vient la briser, et sa substance, toujours pure, descend en ruisseaux pour devenir l’aliment de la flamme.”

Extrait de la liturgie du Samedi Saint dans le rit ambrosien.

Pour en savoir plus sur la liturgie du Samedi Saint (Vigile pascale) et son horaire antique après None (15h de l’après-midi).

A la vigile pascale :

  • Traits en plain-chant
  • Kyrie & Gloria : Messe I Lux & Origo
  • Offertoire : Sileat omnis caro mortalis – offertoire du Samedi Saint de la liturgie de saint Basile le Grand dans le rit byzantin – musique : tradition russe
  • Sanctus : Messe I Lux & Origo
  • A l’élévation : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790) – Harmonisation d’Amédée Gastoué (1873 † 1943), maître de chapelle de Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville, commandeur de Saint Grégoire le Grand
  • Pendant la communion : Canon pascal de Saint-Jean Damascène (VIIIème siècle – extraits) – Polyphonie d’après Maxime Kovalevsky (1903 † 1988)
  • Au dernier évangile : Regina cœli – mise en polyphonie d’après Charles de Courbes (1622)
  • Procession de sortie : Cantilène pascale O filii et filiæ – mélodie du XIIIème siècle, paroles de Jehan Tisserant (XVème siècle), harmonisation Henri de Villiers.

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Horaires de la Semaine Sainte à la paroisse byzantine de la Très-Sainte Trinité

Descente aux Enfers & résurrectionLa Semaine Sainte ou Grande Semaine est le sommet de l’année liturgique et nous fait revivre les mystères de notre Rédemption. Nous sommes heureux de vous accueillir à cette occasion pour prier avec nous à l’un ou l’autre de nos offices célébrés dans le rit byzantin et partager avec vous la grande joie de Pâques, vous êtes les bienvenus !

Cette année, les calendriers julien et grégorien sont décalés de quatre semaines.

Voici les horaires des offices célébrés à la Paroisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité :

25 avril – DIMANCHE DES RAMEAUX
9h : matines (avec bénédiction et distribution des rameaux) & liturgie de saint Jean Chrysostome

26 avril – GRAND & SAINT LUNDI
16h : vêpres & liturgie des présanctifiés

27 avril – GRAND & SAINT MARDI
16h : vêpres & liturgie des présanctifiés

28 avril – GRAND & SAINT MERCREDI
16h : vêpres & liturgie des présanctifiés

29 avril – GRAND & SAINT JEUDI
12h30 : vêpres & liturgie de saint Basile le Grand (liturgie de la Cène au Jeudi Saint)
16h : matines des 12 évangiles (matines des souffrances du Christ – lectures de la Passion)

30 avril – GRAND & SAINT VENDREDI
16h : vêpres de l’ensevelissement du Christ

1er mai – GRAND & SAINT SAMEDI
9h : matines devant le tombeau du Christ
16h : vêpres & liturgie de saint Basile le Grand (vigile pascale)

2 mai – PAQUES – LA LUMINEUSE RESURRECTION DU CHRIST
ПАСХА – СВЕТЛОЕ ХРИСТОВО ВОСКРЕЦЕНИЕ
8h30 : procession pascale – matines de la résurrection – divine liturgie de Pâques de saint Jean Chrysostome
16h : vêpres

L’évènement sur Facebook.

Programme de la Vigile pascale

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 3 avril 2021, vigile pascale de 15h.
Répétition pour les choristes à 14h30.

A l’heure de None (trois heures de l’après-midi), l’Évêque se rend avec tout le clergé à l’Église, et c’est à ce moment que commence la Veille du Samedi saint.”
Dom Guéranger, l’Année liturgique.

Pour en savoir plus sur la liturgie du Samedi Saint (Vigile pascale) et son horaire antique après None (15h de l’après-midi).

A la vigile pascale :

  • Traits en plain-chant
  • Kyrie & Gloria : Messe I Lux & Origo
  • Offertoire : O filii et filiæ – offertoire d’orgue pour le Samedy de Pâques – Jean-François d’Andrieu (1682 † 1738), organiste de Saint-Barthélémy et du Roi à Versailles
  • Sanctus : Messe I Lux & Origo
  • A l’élévation : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790) – Harmonisation d’Amédée Gastoué (1873 † 1943), maître de chapelle de Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville, commandeur de Saint Grégoire le Grand
  • Pendant la communion : Canon pascal de Saint-Jean Damascène (VIIIème siècle – extraits) – Polyphonie d’après Maxime Kovalevsky (1903 † 1988)
  • Au dernier évangile : Regina cœli – mise en polyphonie d’après Charles de Courbes (1622)
  • Procession de sortie : Cantilène pascale O filii et filiæ – mélodie du XIIIème siècle, paroles de Jehan Tisserant (XVème siècle), harmonisation Henri de Villiers.

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Programme du Samedi Saint

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 20 avril 2019, les petites heures du Samedi Saint à 12h30 – vigile pascale à 20h30 sans assistance de peuple.

Les petites Heures comprennent le chant des offices de Prime, Tierce, Sexte et None. Le Psaume 118, le plus long du Psautier, est réparti sur ces quatre offices. chaque office se conclut avec le Miserere (Psaume 50) et l’oraison du Triduum pascal. Dans la tradition parisienne, un ton special – le “ton pascal” (vulgairement appelé “Petit ramage”) est employé des Complies du Mercredi Saint à None du Samedi in Albis. C’est ce ton qui est employé pour ces petites Heures du Samedi Saint.

Voici maintenant que s’accomplit pour nous en réalité ce qui arriva en figure à nos pères. Déjà resplendit la colonne de feu qui guida, durant la nuit sacrée, le peuple du Seigneur vers les eaux dans lesquelles il devait trouver son salut ; vers ces eaux qui engloutissent le persécuteur, et du sein desquelles le peuple du Christ remonte délivré. Conçu de nouveau dans l’eau fécondée par le Saint-Esprit, le fils d’Adam, né pour la mort, renaît à la vie par le Christ. Hâtons-nous donc de rompre notre jeûne solennel ; car le Christ notre Pâque a été immolé. Non seulement nous sommes conviés au festin du corps de l’Agneau, mais nous devons encore nous enivrer de son sang. Ce breuvage n’est point imputé à crime pour ceux qui le boivent, mais il est en eux le principe du salut. Nourrissons-nous aussi de celui qui est l’Azyme ; car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu. Le Christ est le pain descendu du ciel, bien supérieur à celui qui pleuvait du ciel dans la manne, et dont Israël fit son festin pour mourir ensuite. Celui dont ce corps sacré est l’aliment devient possesseur de l’éternelle vie.

Les choses anciennes ont disparu, tout est devenu nouveau : le couteau de la circoncision mosaïque est émoussé, et le rude tranchant de la pierre employée par Josué est hors d’usage. C’est au front et non en secret, que le peuple du Christ reçoit sa marque glorieuse ; c’est par un bain et non par une blessure, par le Chrême et non par le sang.

Il convient donc, en ce soir de la résurrection de notre Seigneur et Sauveur, d’allumer un flambeau dont la blancheur flatte les regards, dont le parfum réjouisse l’odorat, dont l’éclat illumine, dont la matière ne cause pas de dégoût, dont la flamme n’exhale pas une noire fumée. Quoi, en effet, de plus convenable, de plus joyeux, que de célébrer les veilles de la nuit en l’honneur de celui qui est la fleur de Jessé, avec des torches dont la matière est empruntée aux fleurs ? La Sagesse a chanté, parlant d’elle-même : Je suis la fleur des champs et le lis des vallons. La cire n’est point une sueur arrachée au pin par le feu ; elle n’est point une larme enlevée au cèdre par les coups répétés de la hache ; sa source est mystérieuse et virginale ; et si elle éprouve une transformation, c’est en prenant la blancheur de la neige. Devenue liquide par la fusion, sa surface est unie comme le papyrus ; pareille à l’âme innocente, aucune division ne vient la briser, et sa substance, toujours pure, descend en ruisseaux pour devenir l’aliment de la flamme.”

Extrait de la liturgie du Samedi Saint dans le rit ambrosien.

A la vigile pascale :

  • Douze prophéties sur douze tons de lectures – Traits en plain-chant
  • Kyriale I : Lux & Origo
  • Offertoire : O filii et filiæ – offertoire d’orgue pour le Samedy de Pâques – Jean-François d’Andrieu (1682 † 1738), organiste de Saint-Barthélémy et du Roi à Versailles
  • Au dernier évangile : Regina cœli – mise en polyphonie d’après Charles de Courbes (1622)
  • Procession de sortie : Cantilène pascale O filii et filiæ – mélodie du XIIIème siècle, paroles de Jehan Tisserant (XVème siècle), harmonisation Henri de Villiers.

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Programme de la Vigile pascale

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 20 avril 2019, vigile pascale de 21h30.
Répétition pour les choristes à 16h30.

Voici maintenant que s’accomplit pour nous en réalité ce qui arriva en figure à nos pères. Déjà resplendit la colonne de feu qui guida, durant la nuit sacrée, le peuple du Seigneur vers les eaux dans lesquelles il devait trouver son salut ; vers ces eaux qui engloutissent le persécuteur, et du sein desquelles le peuple du Christ remonte délivré. Conçu de nouveau dans l’eau fécondée par le Saint-Esprit, le fils d’Adam, né pour la mort, renaît à la vie par le Christ. Hâtons-nous donc de rompre notre jeûne solennel ; car le Christ notre Pâque a été immolé. Non seulement nous sommes conviés au festin du corps de l’Agneau, mais nous devons encore nous enivrer de son sang. Ce breuvage n’est point imputé à crime pour ceux qui le boivent, mais il est en eux le principe du salut. Nourrissons-nous aussi de celui qui est l’Azyme ; car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu. Le Christ est le pain descendu du ciel, bien supérieur à celui qui pleuvait du ciel dans la manne, et dont Israël fit son festin pour mourir ensuite. Celui dont ce corps sacré est l’aliment devient possesseur de l’éternelle vie.

Les choses anciennes ont disparu, tout est devenu nouveau : le couteau de la circoncision mosaïque est émoussé, et le rude tranchant de la pierre employée par Josué est hors d’usage. C’est au front et non en secret, que le peuple du Christ reçoit sa marque glorieuse ; c’est par un bain et non par une blessure, par le Chrême et non par le sang.

Il convient donc, en ce soir de la résurrection de notre Seigneur et Sauveur, d’allumer un flambeau dont la blancheur flatte les regards, dont le parfum réjouisse l’odorat, dont l’éclat illumine, dont la matière ne cause pas de dégoût, dont la flamme n’exhale pas une noire fumée. Quoi, en effet, de plus convenable, de plus joyeux, que de célébrer les veilles de la nuit en l’honneur de celui qui est la fleur de Jessé, avec des torches dont la matière est empruntée aux fleurs ? La Sagesse a chanté, parlant d’elle-même : Je suis la fleur des champs et le lis des vallons. La cire n’est point une sueur arrachée au pin par le feu ; elle n’est point une larme enlevée au cèdre par les coups répétés de la hache ; sa source est mystérieuse et virginale ; et si elle éprouve une transformation, c’est en prenant la blancheur de la neige. Devenue liquide par la fusion, sa surface est unie comme le papyrus ; pareille à l’âme innocente, aucune division ne vient la briser, et sa substance, toujours pure, descend en ruisseaux pour devenir l’aliment de la flamme.”

Extrait de la liturgie du Samedi Saint dans le rit ambrosien.

A la vigile pascale :

https://youtu.be/rIhYhXS3lXU

https://youtu.be/vzNfrpIEkPg

https://youtu.be/BsLZEwHqAgw

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Programme de la Vigile pascale

Vigile pascale - gravures de PicardSaint-Eugène, le Samedi Saint 31 mars 2018, vigile pascale de 20h30.
Répétition pour les choristes à 16h30.

Voici maintenant que s’accomplit pour nous en réalité ce qui arriva en figure à nos pères. Déjà resplendit la colonne de feu qui guida, durant la nuit sacrée, le peuple du Seigneur vers les eaux dans lesquelles il devait trouver son salut ; vers ces eaux qui engloutissent le persécuteur, et du sein desquelles le peuple du Christ remonte délivré. Conçu de nouveau dans l’eau fécondée par le Saint-Esprit, le fils d’Adam, né pour la mort, renaît à la vie par le Christ. Hâtons-nous donc de rompre notre jeûne solennel ; car le Christ notre Pâque a été immolé. Non seulement nous sommes conviés au festin du corps de l’Agneau, mais nous devons encore nous enivrer de son sang. Ce breuvage n’est point imputé à crime pour ceux qui le boivent, mais il est en eux le principe du salut. Nourrissons-nous aussi de celui qui est l’Azyme ; car l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu. Le Christ est le pain descendu du ciel, bien supérieur à celui qui pleuvait du ciel dans la manne, et dont Israël fit son festin pour mourir ensuite. Celui dont ce corps sacré est l’aliment devient possesseur de l’éternelle vie.

Les choses anciennes ont disparu, tout est devenu nouveau : le couteau de la circoncision mosaïque est émoussé, et le rude tranchant de la pierre employée par Josué est hors d’usage. C’est au front et non en secret, que le peuple du Christ reçoit sa marque glorieuse ; c’est par un bain et non par une blessure, par le Chrême et non par le sang.

Il convient donc, en ce soir de la résurrection de notre Seigneur et Sauveur, d’allumer un flambeau dont la blancheur flatte les regards, dont le parfum réjouisse l’odorat, dont l’éclat illumine, dont la matière ne cause pas de dégoût, dont la flamme n’exhale pas une noire fumée. Quoi, en effet, de plus convenable, de plus joyeux, que de célébrer les veilles de la nuit en l’honneur de celui qui est la fleur de Jessé, avec des torches dont la matière est empruntée aux fleurs ? La Sagesse a chanté, parlant d’elle-même : Je suis la fleur des champs et le lis des vallons. La cire n’est point une sueur arrachée au pin par le feu ; elle n’est point une larme enlevée au cèdre par les coups répétés de la hache ; sa source est mystérieuse et virginale ; et si elle éprouve une transformation, c’est en prenant la blancheur de la neige. Devenue liquide par la fusion, sa surface est unie comme le papyrus ; pareille à l’âme innocente, aucune division ne vient la briser, et sa substance, toujours pure, descend en ruisseaux pour devenir l’aliment de la flamme.”

Extrait de la liturgie du Samedi Saint dans le rit ambrosien.

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