Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.
Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.
Messe votive du Très-Saint Sacrement – Propre grégorien
Procession d’entrée : Lauda Sion Salvatorem – extraits de la Prose du T. S. Sacrement – texte de Saint Thomas d’Aquin, mélodie d’Ernest Mazingue, organiste de Saint-Etienne de Lille (XIXème siècle) – Harmonisation d’Olivier Willemin, organiste de Sainte-Rosalie
Kyriale VIII – De Angelis
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Après la messe d’exposition, adoration silencieuse du Très-Saint Sacrement sans interruption, de jour comme de nuit, jusqu’à la messe de reposition mardi matin.
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Saint-Eugène, le mardi 25 février 2020, messe de 7h30.
Messe votive du Très-Saint Sacrement – Propre grégorien
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Saint-Eugène, le dimanche 23 juin 2019, grand’messe de 11h qui est la première messe de M. l’Abbé Martial Merlin.
Vêpres, procession & salut solennel du Très-Saint Sacrement à 15h45.
Dans l’année liturgique, la fête de l’Eucharistie est célébrée le Jeudi Saint. Toutefois, en raison de l’entrée à la suite du Christ dans les souffrances de la Passion, les fastes liturgiques ne peuvent être complètement déployés ce jour-là. Aussi l’Eglise a-t-elle reporté la célébration glorieuse du sacrement de l’Eucharistie au jeudi qui suit la Trinité. Le mérite de l’institution de la fête de l’Eucharistie (c’est son nom dans les missels médiévaux) à cette date revient à sainte Julienne de Cornillon. A partir de 1209, cette religieuse & mystique liégeoise reçut la vision fréquente de la lune en laquelle une partie restait sombre et ne rayonnait pas. “Le Seigneur lui fit comprendre la signification de ce qui lui était apparu. La lune symbolisait la vie de l’Eglise sur terre, la ligne opaque représentait en revanche l’absence d’une fête liturgique, pour l’institution de laquelle il était demandé à Julienne de se prodiguer de façon efficace : c’est-à-dire une fête dans laquelle les croyants pouvaient adorer l’Eucharistie pour faire croître leur foi, avancer dans la pratique des vertus et réparer les offenses au Très Saint Sacrement” (Benoît XVI). Répondant aux demandes de sainte Julienne, l’évêque de Liège fit célébrer la première Fête-Dieu en sa ville en 1246. La providence appela ensuite l’archidiacre de Liège à siéger sur le trône de saint Pierre sous le nom d’Urbain IV, lequel institua la Fête du Corps du Christ pour l’Église d’Occident par la bulle Transiturus de hoc mundo le 11 août 1264. A la demande du pape, saint Thomas d’Aquin fut chargé de la composition de l’office et de la messe de la nouvelle fête (pour la messe, il centonisa des textes nouveaux sur les airs liturgiques les plus en faveurs de son temps, et pour l’office, il remania celui qui était déjà en cours dans certains monastères cisterciens des Flandres). La procession avec le Saint-Sacrement, pratiquée ici & là dès le XIème siècles aux Rameaux et au petit matin de Pâques, se fit ensuite volontiers à la Fête-Dieu, et elle était généralisée partout en Occident au XVème siècle. En général la procession se faisait après la messe le jour même de la fête, et après les vêpres chaque jour de l’octave.
La Fête-Dieu n’étant plus fériée en France, la solennité en est transférée dans notre pays au dimanche qui suit, dans son octave.
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Pendant les encensements de l’offertoire : Adoro te supplex – hymne au T. S. Sacrement de saint Thomas d’Aquin – alternances polyphoniques : faux-bourdon de la tradition de l’Eglise de Langres
Pendant la communion : Tantum ergo sacramentum – fin du grand motet Pange lingua de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV
Procession de sortie : Loué soit à tout instant – Cantique de Saint Louis Marie Grignon de Montfort (1673 † 1716), docteur de l’Eglise
Aux secondes vêpres
Motet d’exposition : O salutaris de l’abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
Secondes vêpres du Très-Saint Sacrement
Dixit Dominus du Ier ton : alternances polyphoniques de Guillaume Bouzignac (c. 1587 † ap. 1643), maître de chapelle des cathédrales d’Angoulême, de Bourges, de Rodez et de Clermont-Ferrand
Antiennes relevées aux cuivres (trompettes et trombones) : Claudin de Sermisy (1490 † 1562), sous-maître de la chapelle royale, chanoine de la Sainte Chapelle
Faux-bourdons parisiens pour les autres psaumes et le Magnificat
Alternances polyphoniques de l’hymne Pange lingua : alternances polyphoniques : faux-bourdon de la tradition de l’Eglise de Langres
A la procession de la Fête-Dieu
Première partie de la procession :
Pange lingua
Benedictus qui venit – cantique du Chanoine Darros – versets du Benedictus (Luc, I-vv. 68 – 79), psalmodie du VIème ton
Au premier reposoir : Tantum ergo
Seconde partie de la procession :
Antienne Lauda Jerusalem du Chanoine Noël Darros († 1954), maître de chapelle de Lourdes – versets du psaume 147, psalmodie du Vème ton de l’Oratoire
Au second reposoir : Symphonies pour un reposoir (H. 508) de Marc-Antoine Charpentier (1643 † 1704), maître de la musique de Marie de Lorraine, duchesse de Guise, du Dauphin, fils de Louis XIV et de la Sainte Chapelle de Paris & Tantum ergo
Troisième partie de la procession :
Lauda Sion – Texte de saint Thomas d’Aquin composé sur le modèle de la séquence Laudes Crucis d’Adam de Saint-Victor – mélodie d’Ernest Mazingue, organiste de Saint-Etienne de Lille (XIXème siècle)
Au salut du Très-Saint Sacrement
Quam dilecta – grand motet de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV
Salve regina – ton simple
Tu es Petrus
Tantum ergo – grand motet de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV
Louanges divines en réparation des blasphèmes
Motet final au très Saint Sacrement : Non privabit bonis eos – extrait du Quam dilecta, grand motet de Michel-Richard de Lalande
Messe votive du Très-Saint Sacrement – Propre grégorien – Ordinaire : Messe Ad Majorem Dei Gloriam (1699) d’André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris & de Louis XV à Versailles
Procession d’entrée : Lauda Sion Salvatorem – extraits de la Prose du T. S. Sacrement – texte de Saint Thomas d’Aquin, mélodie d’Ernest Mazingue, organiste de Saint-Etienne de Lille (XIXème siècle) – Harmonisation d’Olivier Willemin, organiste de Sainte-Rosalie
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Credo III – Et incarnatus de la Missa syllabica de Jean de Bournonville (1585 † 1632), maître de chapelle de la Sainte Chapelle de Paris
Pendant les encensements de l’offertoire : Sicut cervus – Charles Gounod (1818 † 1893)
Après la Consécration : Benedictus de la Messe Ad Majorem Dei Gloriam
Ite missa est de la messe royale du Ier ton d’Henry du Mont
Après le dernier Evangile : Ave Regina cœlorum
Procession du Saint Sacrement des Quarante-Heures : Pange lingua – texte de Saint Thomas d’Aquin – plain-chant & musique de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV
Litanie des saints – Psaume 69 – prières et oraisons des Quarante-Heures
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Dans l’année liturgique, la fête de l’Eucharistie est célébrée le Jeudi Saint. Toutefois, en raison de l’entrée à la suite du Christ dans les souffrances de la Passion, les fastes liturgiques ne peuvent être complètement déployés ce jour-là. Aussi l’Eglise a-t-elle reporté la célébration glorieuse du sacrement de l’Eucharistie au jeudi qui suit la Trinité. Le mérite de l’institution de la fête de l’Eucharistie (c’est son nom dans les missels médiévaux) à cette date revient à sainte Julienne de Cornillon. A partir de 1209, cette religieuse & mystique liégeoise reçut la vision fréquente de la lune en laquelle une partie restait sombre et ne rayonnait pas. “Le Seigneur lui fit comprendre la signification de ce qui lui était apparu. La lune symbolisait la vie de l’Eglise sur terre, la ligne opaque représentait en revanche l’absence d’une fête liturgique, pour l’institution de laquelle il était demandé à Julienne de se prodiguer de façon efficace : c’est-à-dire une fête dans laquelle les croyants pouvaient adorer l’Eucharistie pour faire croître leur foi, avancer dans la pratique des vertus et réparer les offenses au Très Saint Sacrement” (Benoît XVI). Répondant aux demandes de sainte Julienne, l’évêque de Liège fit célébrer la première Fête-Dieu en sa ville en 1246. La providence appela ensuite l’archidiacre de Liège à siéger sur le trône de saint Pierre sous le nom d’Urbain IV, lequel institua la Fête du Corps du Christ pour l’Église d’Occident par la bulle Transiturus de hoc mundo le 11 août 1264. A la demande du pape, saint Thomas d’Aquin fut chargé de la composition de l’office et de la messe de la nouvelle fête (pour la messe, il centonisa des textes nouveaux sur les airs liturgiques les plus en faveurs de son temps, et pour l’office, il remania celui qui était déjà en cours dans certains monastères cisterciens des Flandres). La procession avec le Saint-Sacrement, pratiquée ici & là dès le XIème siècles aux Rameaux et au petit matin de Pâques, se fit ensuite volontiers à la Fête-Dieu, et elle était généralisée partout en Occident au XVème siècle. En général la procession se faisait après la messe le jour même de la fête, et après les vêpres chaque jour de l’octave.
La Fête-Dieu n’étant plus fériée en France, la solennité en est transférée dans notre pays au dimanche qui suit, dans son octave.
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
La procession a lieu avant les vêpres et partira de Sainte-Elisabeth-de-Hongrie.
Motet d’exposition : O salutaris de l’abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
Messe votive du Très-Saint Sacrement – Propre grégorien – Ordinaire : Messe Ad Majorem Dei Gloriam (1699) d’André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris & de Louis XV à Versailles
Procession d’entrée : Lauda Sion Salvatorem – extraits de la Prose du T. S. Sacrement – texte de Saint Thomas d’Aquin, mélodie d’Ernest Mazingue, organiste de Saint-Etienne de Lille (XIXème siècle) – Harmonisation d’Olivier Willemin, organiste de Sainte-Rosalie
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Credo III – Et incarnatus de la Missa syllabica de Jean de Bournonville (1585 † 1632), maître de chapelle de la Sainte Chapelle de Paris
Pendant les encensements de l’offertoire : Sicut cervus – Charles Gounod (1818 † 1893)
Après la Consécration : Benedictus de la Messe Ad Majorem Dei Gloriam
Ite missa est de la messe royale du Ier ton d’Henry du Mont
Après le dernier Evangile : Ave Regina cœlorum
Procession du Saint Sacrement des Quarante-Heures : Pange lingua – texte de Saint Thomas d’Aquin – plain-chant & musique de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV
Litanie des saints – Psaume 69 – prières et oraisons des Quarante-Heures
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Dans l’année liturgique, la fête de l’Eucharistie est célébrée le Jeudi Saint. Toutefois, en raison de l’entrée à la suite du Christ dans les souffrances de la Passion, les fastes liturgiques ne peuvent être complètement déployés ce jour-là. Aussi l’Eglise a-t-elle reporté la célébration glorieuse du sacrement de l’Eucharistie au jeudi qui suit la Trinité. Le mérite de l’institution de la fête de l’Eucharistie (c’est son nom dans les missels médiévaux) à cette date revient à sainte Julienne de Cornillon. A partir de 1209, cette religieuse & mystique liégeoise reçut la vision fréquente de la lune en laquelle une partie restait sombre et ne rayonnait pas. “Le Seigneur lui fit comprendre la signification de ce qui lui était apparu. La lune symbolisait la vie de l’Eglise sur terre, la ligne opaque représentait en revanche l’absence d’une fête liturgique, pour l’institution de laquelle il était demandé à Julienne de se prodiguer de façon efficace : c’est-à-dire une fête dans laquelle les croyants pouvaient adorer l’Eucharistie pour faire croître leur foi, avancer dans la pratique des vertus et réparer les offenses au Très Saint Sacrement” (Benoît XVI). Répondant aux demandes de sainte Julienne, l’évêque de Liège fit célébrer la première Fête-Dieu en sa ville en 1246. La providence appela ensuite l’archidiacre de Liège à siéger sur le trône de saint Pierre sous le nom d’Urbain IV, lequel institua la Fête du Corps du Christ pour l’Église d’Occident par la bulle Transiturus de hoc mundo le 11 août 1264. A la demande du pape, saint Thomas d’Aquin fut chargé de la composition de l’office et de la messe de la nouvelle fête (pour la messe, il centonisa des textes nouveaux sur les airs liturgiques les plus en faveurs de son temps, et pour l’office, il remania celui qui était déjà en cours dans certains monastères cisterciens des Flandres). La procession avec le Saint-Sacrement, pratiquée ici & là dès le XIème siècles aux Rameaux et au petit matin de Pâques, se fit ensuite volontiers à la Fête-Dieu, et elle était généralisée partout en Occident au XVème siècle. En général la procession se faisait après la messe le jour même de la fête, et après les vêpres chaque jour de l’octave.
La Fête-Dieu n’étant plus fériée en France, la solennité en est transférée dans notre pays au dimanche qui suit, dans son octave.
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Motet d’exposition : O salutaris de l’abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
Première partie de la procession :
Pange lingua
Benedictus qui venit – cantique du Chanoine Darros – versets du Benedictus (Luc, I-vv. 68 – 79), psalmodie du VIème ton
Au premier reposoir : Tantum ergo
Seconde partie de la procession :
Antienne Lauda Jerusalem du Chanoine Noël Darros († 1954), maître de chapelle de Lourdes – versets du psaume 147, psalmodie du Vème ton de l’Oratoire
Au second reposoir : Tantum ergo
Troisième partie de la procession :
Lauda Sion – Texte de saint Thomas d’Aquin composé sur le modèle de la séquence Laudes Crucis d’Adam de Saint-Victor – mélodie d’Ernest Mazingue, organiste de Saint-Etienne de Lille (XIXème siècle)
Au Salut du Très-Saint Sacrement :
Panis angelicus – plain-chant de Langres
Salve regina – ton simple
Tu es Petrus
Tantum ergo
Louanges divines en réparation des blasphèmes
Motet final au très Saint Sacrement : Adoremus in æternum en plain-chant musical
Messe votive du Très-Saint Sacrement – Propre grégorien – Ordinaire : Messe Ad Majorem Dei Gloriam (1699) d’André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris & de Louis XV à Versailles
Procession d’entrée : Lauda Sion Salvatorem – extraits de la Prose du T. S. Sacrement – texte de Saint Thomas d’Aquin, mélodie d’Ernest Mazingue, organiste de Saint-Etienne de Lille (XIXème siècle) – Harmonisation d’Olivier Willemin, organiste de Sainte-Rosalie
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Credo III – Et incarnatus de la Missa syllabica de Jean de Bournonville (1585 † 1632), maître de chapelle de la Sainte Chapelle de Paris
Pendant les encensements de l’offertoire : Benedicam Dominum – Psaume eucharistique XXXIII – Lambert Pietkin (1612 † 1696), maître de chapelle de la cathédrale de Liège
Après la Consécration : Benedictus de la Messe Ad Majorem Dei Gloriam
Ite missa est de la messe royale du Ier ton d’Henry du Mont
Après le dernier Evangile : Ave Regina cœlorum
Procession du Saint Sacrement des Quarante-Heures : Pange lingua – texte de Saint Thomas d’Aquin – plain-chant & musique de Michel-Richard de Lalande (1657 † 1726), maître de la chapelle des rois Louis XIV & Louis XV
Litanie des saints – Psaume 69 – prières et oraisons des Quarante-Heures
Epître : I Corinthiens XI, 23-29 : Et ayant rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez et mangez : ceci est mon corps, qui sera livré pour vous : faites ceci en mémoire de moi.
Evangile : Jean VI, 6, 56-59 : Celui qui mange ma chair, et boit mon sang, a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture, et mon sang est véritablement un breuvage.
Dimanche 7 février 2016 : messe d’exposition des Quarante-Heures, suivie de la procession du Saint Sacrement, des litanies & prières des Quarante-Heures, puis de l’adoration silencieuse des paroissiens pendant 40 heures :
Mardi 10 février 2016 : messe de reposition des Quarante-Heures (missa coram Sanctissimo Sacramento), suivie des Litanies & prières des Quarante-Heures, de la procession du Saint Sacrement, des oraisons et de la bénédiction du Très-Saint Sacrement :
Crédit photographique : Fanny B. & Marie-Line B. que nous remercions ici bien vivement !