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La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 21 janvier 2024, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres du IIIème dimanche après l’Epiphanie. Au salut du Très-Saint Sacrement :

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.
Télécharger le livret des IIndes vêpres du dimanche.
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Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 22 janvier 2023, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres du IIIème dimanche après l’Epiphanie. Au salut du Très-Saint Sacrement :

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Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 23 janvier 2022, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres du IIIème dimanche après l’Epiphanie. Au salut du Très-Saint Sacrement :

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Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 24 janvier 2021, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres du IIIème dimanche après l’Epiphanie. Au salut du Très-Saint Sacrement :

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Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 26 janvier 2020, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres du IIIème dimanche après l’Epiphanie. Au salut du Très-Saint Sacrement :

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Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 27 janvier 2019, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres du IIIème dimanche après l’Epiphanie. Au salut du Très-Saint Sacrement :

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Programme du IIIème dimanche après l’Epiphanie

3ème dimanche après l'Epiphanie - guérison de l'esclave du centurionSaint-Eugène, le dimanche 25 janvier 2015, grand’messe de 11h.

La guérison du lépreux et celle du serviteur du centurion – Domine non sum dignus.

Après le premier miracle, aux noces de Cana, l’évangile de ce jour nous montre la manifestation de la puissance de Dieu à l’œuvre au travers des deux premières guérisons effectuées par le Christ au début de sa vie publique. Ce déploiement de la puissance divine, prolongement logique de la manifestation divine fêtée à l’Epiphanie – est chanté par les textes de la messe, en particulier par l’offertoire, tiré du psaume CXVII :

Déxtera Dómini * fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me : non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La dextre du Seigneur a fait éclater sa puissance, la dextre du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai pas mais je vivrai et je raconterai les œuvres du Seigneur.

La guérison du serviteur du centurion de Capharnaüm constitue aussi le prémice symbolique de la vocation des gentils, d’Orient et d’Occident, au salut, comme l’annonce Notre Seigneur lui-même dès ce passage. L’humble confession de foi du centurion a été reprise dans la liturgie romaine, et nous faisons nôtres ses paroles avant que de communier au Verbe de vie :
Dómine, non sum dignus, ut intres sub tectum meum : sed tantum dic verbo, et sanábitur ánima mea.
Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dit seulement une parole, et mon âme sera guérie.

Tandis qu’il descend de la montagne, les foules vont au devant du Seigneur ; car elles n’ont pu gravir les sommets. Et le premier qui vient à sa rencontre est un lépreux : à cause de sa lèpre il ne pouvait entendre le si long discours prononcé par le Sauveur sur la montagne. Il faut noter qu’il est le premier cas spécial de guérison : le second rang revient au serviteur du centurion, le troisième à la belle-mère de Pierre accablée par la fièvre à Capharnaüm, le quatrième aux possédés du démon qui sont présentés au Seigneur et dont les esprits sont chassés par sa parole lorsqu’il guérit aussi tous les malheureux.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

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