Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Commémoraison de tous les fidèles défunts

Messe de funéraillesSaint-Eugène, le mercredi 2 novembre 2016, Requiem de 19h.
Répétition pour les choristes à partir de 18h30.

Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

La prière pour les morts existe dès les premiers temps du christianisme. A côté de la célébration d’offices pour tel et tel défunt se développèrent par la suite des offices célébrés de façon plus générale (en particulier pour tous les bienfaiteurs défunts d’un monastère). Au VIIIème siècle, le monastère de Fulda célébrait chaque mois une commémoraison générale des fidèles défunts.

La célébration annuelle de l’office pour tous les fidèles défunts au 2 novembre, au lendemain de la Toussaint remonte à saint Odilon, abbé de Cluny. Celui-ci ordonne par un édit de 998 pour la centaine de monastères de sa congrégation que le 1er novembre, après les vêpres solennelles de la Toussaint, les cloches sonnent le glas funèbre et que les moines célèbrent au chœur l’office des défunts. Le lendemain, tous les prêtres doivent offrir à Dieu le divin sacrifice pro requiem omnium defunctorum. Diffusé dans toute l’Europe par les moines de Cluny, cet usage fut accueilli très vite par des diocèses (dès 1008 pour Liège) et finit par devenir général au XIVème siècle.

En raison des ravages causés dans la chrétienté par la Ière guerre mondiale, S.S. le Pape Benoît XV a autorisé tous les prêtres à célébrer le 2 novembre 3 messes pour les défunts, étendant un privilège que le Pape Benoît XIV avait accordé initialement aux états dépendants de la couronne d’Espagne. A cette occasion fut insérée dans le Missel Romain la préface pour les défunts, composition moderne inspirée d’une préface similaire en usage de longue date dans les diocèses français & qui figure au propre de Paris (hélas, de ce vénérable & antique texte, seule la sublime phrase vita mutatur non tollitur a été conservée intacte).

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Commémoraison de tous les fidèles défunts

Messe de funéraillesSaint-Eugène, le lundi 2 novembre 2015, Requiem de 19h.
Répétition pour les choristes à partir de 18h30.

Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

La prière pour les morts existe depuis les premiers temps du christianisme. A côté de la célébration d’offices pour tel et tel défunt se développèrent par la suite des offices célébrés de façon plus générale (en particulier pour tous les bienfaiteurs défunts d’un monastère). Au VIIIème siècle, le monastère de Fulda célébrait chaque mois une commémoraison générale des fidèles défunts. La célébration annuelle de l’office pour tous les fidèles défunts au 2 novembre, au lendemain de la Toussaint remonte à saint Odilon, abbé de Cluny. Celui-ci ordonne par un édit de 998 pour la centaine de monastères de sa congrégation que le 1er novembre, après les vêpres solennelles de la Toussaint, les cloches sonnent le glas funèbre et que les moines célèbrent au chœur l’office des défunts. Le lendemain, tous les prêtres doivent offrir à Dieu le divin sacrifice pro requiem omnium defunctorum. Diffusé dans toute l’Europe par les moines de Cluny, cet usage fut accueilli très vite par des diocèses (dès 1008 pour Liège) et finit par devenir général au XIVème siècle. En raison des ravages causés dans la chrétienté par la Ière guerre mondiale, S.S. le Pape Benoît XV a autorisé tous les prêtres à célébrer le 2 novembre 3 messes pour les défunts, étendant un privilège que le Pape Benoît XIV avait accordé initialement aux états dépendants de la couronne d’Espagne. A cette occasion fut insérée dans le Missel Romain la préface pour les défunts, composition moderne inspirée d’une préface similaire en usage de longue date dans les diocèses français & qui figure au propre de Paris (hélas, de ce vénérable & antique texte, seule la sublime phrase vita mutatur non tollitur a été conservée intacte).

  • Messe de requiem en plain-chant grégorien
  • Procession d’entrée: De profundis normand – psaume 129 – plain-chant en usage dans le diocèse de Coutances
  • Après la Consécration : Pie Jesu en plain-chant
  • Pendant la communion : Bone Jesu – motet en plain-chant musical – Tradition de Troyes
    Miserere du premier ton avec l’antienne Exultabunt Domine – faux-bourdon parisien du Ier ton
  • Procession de sortie : Languentibus in Purgatorio – prose à la Très-sainte Vierge Marie pour les défunts, composée par Jean de Langoueznou, abbé de Landevenec au XIVème siècle – plain-chant musical en usage dans le diocèse de Coutances
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    Enregistrement : Requiem pour tous les fidèles défunts

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    Téléchargez les partitions chantées au cours de cette messe & présentes dans cet enregistrement :

    Les fichiers MP3 sont téléchargeables ici.

    Jésus-Christ vainqueur de la mort

    Commémoraison de tous les fidèles défunts

    Messe de funéraillesSaint-Eugène, le lundi 3 novembre 2014, Requiem de 19h.
    Répétition pour les choristes à partir de 18h30.

    Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

    La prière pour les morts existe depuis les premiers temps du christianisme. A côté de la célébration d’offices pour tel et tel défunt se développèrent par la suite des offices célébrés de façon plus générale (en particulier pour tous les bienfaiteurs défunts d’un monastère). Au VIIIème siècle, le monastère de Fulda célébrait chaque mois une commémoraison générale des fidèles défunts. La célébration annuelle de l’office pour tous les fidèles défunts au 2 novembre, au lendemain de la Toussaint remonte à saint Odilon, abbé de Cluny. Celui-ci ordonne par un édit de 998 pour la centaine de monastères de sa congrégation que le 1er novembre, après les vêpres solennelles de la Toussaint, les cloches sonnent le glas funèbre et que les moines célèbrent au chœur l’office des défunts. Le lendemain, tous les prêtres doivent offrir à Dieu le divin sacrifice pro requiem omnium defunctorum. Diffusé dans toute l’Europe par les moines de Cluny, cet usage fut accueilli très vite par des diocèses (dès 1008 pour Liège) et finit par devenir général au XIVème siècle. En raison des ravages causés dans la chrétienté par la Ière guerre mondiale, S.S. le Pape Benoît XV a autorisé tous les prêtres à célébrer le 2 novembre 3 messes pour les défunts, étendant un privilège que le Pape Benoît XIV avait accordé initialement aux états dépendants de la couronne d’Espagne. A cette occasion fut insérée dans le Missel Romain la préface pour les défunts, composition moderne inspirée d’une préface similaire en usage de longue date dans les diocèses français & qui figure au propre de Paris (hélas, de ce vénérable & antique texte, seule la sublime phrase vita mutatur non tollitur a été conservée intacte).

  • Messe de requiem en plain-chant grégorien
  • Procession d’entrée: De profundis parisien – psaume 129 – faux-bourdon attribué à André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris et de Louis XV à Versailles
  • Après la Consécration : Pie Jesu en plain-chant
  • Pendant la communion : De profundis de la Messe de Requiem des évêques de Langres, de Nicolas-Mammès Couturier (1840 † 1911), maître de chapelle de la cathédrale de Langres
  • Procession de sortie : Languentibus in Purgatorio – prose à la Très-sainte Vierge Marie pour les défunts, composée par Jean de Langoueznou, abbé de Landevenec au XIVème siècle – plain-chant musical en usage dans le diocèse de Coutances
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

    Commémoraison de tous les fidèles défunts

    Messe de funéraillesSaint-Eugène, le samedi 2 novembre 2013, Requiem de 11h.
    Répétition pour les choristes à partir de 10h30.

    Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

    La prière pour les morts existe depuis les premiers temps du christianisme. A côté de la célébration d’offices pour tel et tel défunt se développèrent par la suite des offices célébrés de façon plus générale (en particulier pour tous les bienfaiteurs défunts d’un monastère). Au VIIIème siècle, le monastère de Fulda célébrait chaque mois une commémoraison générale des fidèles défunts. La célébration annuelle de l’office pour tous les fidèles défunts au 2 novembre, au lendemain de la Toussaint remonte à saint Odilon, abbé de Cluny. Celui-ci ordonne par un édit de 998 pour la centaine de monastère de sa congrégation que le 1er novembre, après les vêpres solennelles de la Toussaint, les cloches sonnent le glas funèbre et que les moines célèbrent au chœur l’office des défunts. Le lendemain, tous les prêtres doivent offrir à Dieu le divin sacrifice pro requiem omnium defunctorum. Diffusé dans toute l’Europe par les moines de Cluny, cet usage fut accueilli très vite par des diocèses (dès 1008 pour Liège) et finit par devenir général au XIVème siècle. En raison des ravages causés dans la chrétienté par la Ière guerre mondiale, S.S. le Pape Benoît XV a autorisé tous les prêtres à célébrer le 2 novembre 3 messes pour les défunts, étendant un privilège que le Pape Benoît XIV avait accordé initialement aux états dépendants de la couronne d’Espagne. A cette occasion fut insérée dans le Missel Romain la préface pour les défunts, composition moderne inspirée d’une préface similaire en usage de longue date dans les diocèses français (hélas, de ce vénérable & antique texte, seule la sublime phrase vita mutatur non tollitur a été conservée intacte).

  • Messe de requiem en plain-chant grégorien
  • Procession d’entrée: De profundis parisien – psaume 129 – faux-bourdon attribué à André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris et de Louis XV à Versailles
  • Après la Consécration : Pie Jesu (H. 263) de la Messe des Morts à 4 voix (H. 7) de Marc-Antoine Charpentier (1643 † 1704) maître de la musique de Marie de Lorraine, duchesse de Guise, du Dauphin, fils de Louis XIV, & de la Sainte Chapelle
  • Pendant la communion : Miseremini – plainte des âmes du Purgatoires – Texte tiré du livre de Job lu aux matines des défunts (Job XIX, 21 – 3ème nocturne, 8ème leçon) – motet jésuite anonyme du XVIIème siècle
  • Procession de sortie : Languentibus in Purgatorio – prose à la Très-sainte Vierge Marie pour les défunts, composée par Jean de Langoueznou, abbé de Landevenec au XIVème siècle – plain-chant musical en usage dans le diocèse de Coutances
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

    Commémoraison de tous les fidèles défunts

    Messe de funéraillesSaint-Eugène, le vendredi 2 novembre 2012, messe solennelle de 19h.
    Répétition pour les choristes à partir de 18h30.

    Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

    La prière pour les morts existe depuis les premiers temps du christianisme. A côté de la célébration d’offices pour tel et tel défunt se développèrent par la suite des offices célébrés de façon plus générale (en particulier pour tous les bienfaiteurs défunts d’un monastère). Au VIIIème siècle, le monastère de Fulda célébrait chaque mois une commémoraison générale des fidèles défunts. La célébration annuelle de l’office pour tous les fidèles défunts au 2 novembre, au lendemain de la Toussaint remonte à saint Odilon, abbé de Cluny. Celui-ci ordonne par un édit de 998 pour la centaine de monastère de sa congrégation que le 1er novembre, après les vêpres solennelles de la Toussaint, les cloches sonnent le glas funèbre et que les moines célèbrent au chœur l’office des défunts. Le lendemain, tous les prêtres doivent offrir à Dieu le divin sacrifice pro requiem omnium defunctorum. Diffusé dans toute l’Europe par les moines de Cluny, cet usage fut accueilli très vite par des diocèses (dès 1008 pour Liège) et finit par devenir général au XIVème siècle. En raison des ravages causés dans la chrétienté par la Ière guerre mondiale, S.S. le Pape Benoît XV a autorisé tous les prêtres à célébrer le 2 novembre 3 messes pour les défunts, étendant un privilège que le Pape Benoît XIV avait accordé initialement aux états dépendants de la couronne d’Espagne. A cette occasion fut insérée dans le Missel Romain la préface pour les défunts, composition moderne inspirée d’une préface similaire en usage de longue date dans les diocèses français (seule la sublime phrase vita mutatur non tollitur a été conservée de l’ancienne préface).

    Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

    Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

    Catéchisme sur le Purgatoire - Antoni Guerra le Jeune (1666 † 1711) - Les Ames du Purgatoire, 1709

    Demande. De quoi l’Eglise s’occupe-t-elle le lendemain de la Toussaint (ou le 3 novembre lorsque le 2 tombe un dimanche) ?
    Réponse. L’Eglise s’occupe de prières générales qu’elle fait pour les âmes du Purgatoire.

    D. Pourquoi l’Eglise a-t-elle destiné un jour pour prier généralement pour les morts ?
    R. Afin de procurer aux morts un soulagement général, surtout aux âmes les plus abandonnées.

    D. Pourquoi l’Eglise a-t-elle fixé ces prières le lendemain de la Toussaint ?
    R. Pour faire remarquer l’union admirable qui règne entre les membres de l’Eglise.
    Explication. Il y a trois Eglises : la triomphante qui est dans le Ciel, la souffrante qui est dans le Purgatoire, la militante qui est sur la terre. Ces trois Eglises n’en font qu’une sous le même Chef qui est Jésus-Christ. Les saints nous protègent, nous les honorons ; nous prions pour les âmes du Purgatoire, & nos suffrages les soulagent : c’est en quoi consiste cette union, qui est appelée la communion des saints.

    D. L’usage de prier pour les morts est-il ancien dans l’Eglise ?
    R. Oui, l’Eglise a toujours prié pour les morts dès les premiers siècles.

    D. Qu’est-ce que l’Ecriture sainte & la Tradition nous apprennent à ce sujet ?
    R. Elles nous apprennent qu’il est de foi qu’il y a un Purgatoire.
    Explication. Le passage du Livre des Macchabées est au-dessus de toute réplique. Saint-Paul parle dans ses Epîtres d’un baptême pour les morts, & d’un feu qui doit purifier ceux qui sortent de ce monde, encore redevables de la justice de Dieu. Voyez dans l’histoire (chez les Pères de l’Eglise depuis Tertullien) les preuves de la Tradition.

    D. Qu’est-ce que le Purgatoire ?
    R. C’est un lieu où les âmes des justes achèvent de satisfaire à Dieu en souffrant les peines dues à leurs péchés.
    Explication. Les saints ne croient point exagérer en assurant que les peines du Purgatoire sont extrêmes, excessives, inexprimables, plus terribles que tout ce que nous pouvons imaginer ; ils ne mettent de différence entre ces peines & celles de l’Enfer, que la durée & le désespoir, qui ne peuvent convenir à des âmes justes.

    D. Quels sont les principaux motifs qui doivent nous engager à prier pour les morts ?
    R. La gloire de Dieu, le soulagement des morts, notre intérêt particulier & la charité chrétienne.

    D. Pourquoi la gloire de Dieu est-elle un motif de prier pour les morts ?
    R. Parce que les âmes du Purgatoire loueront Dieu plus parfaitement dans le Ciel.

    D. Comment le soulagement des morts est-il un motif de prier pour eux ?
    R. Parce que leurs souffrances seront abrégées par les secours que nous leur accorderons.

    D. Quel intérêt particulier avons-nous de prier pour les morts ?
    R. Parce que les âmes du Purgatoire s’intéresseront spécialement pour nous auprès de Dieu.

    D. Comment la charité chrétienne nous oblige-t-elle à prier pour les morts ?
    R. Parce que les morts sont nos frères en Jésus-Christ, & que la charité chrétienne doit s’étendre à tous les hommes.
    Explication. Quelquefois, la justice même nous oblige de prier pour les morts : combien de personnes qui sont cause des tourments que souffrent certaines âmes dans le Purgatoire par les péchés qu’elles leur ont fait commettre lorsqu’elles étaient sur la terre ? Ces personnes sont dans une étroite obligation de procurer à ces morts tous les secours qui dépendent d’elles.

    D. Quel est l’esprit de l’Eglise le jour des morts ?
    R. C’est que chacun prie pour tous les morts en général.
    Explication. L’Eglise, dans l’office public de ce jour, ne prie pour aucun mort en particulier, elle offre son sacrifice pour tous en général ; son dessein est aussi de soulager spécialement les âmes les plus abandonnées & qui ont le moins de secours.

    D. Par quels moyens peut-on soulager les âmes du Purgatoire ?
    R. On peut les soulager par la prière, par l’aumône, par toutes sortes de bonnes œuvres, & principalement par le saint sacrifice de la Messe.

    D. Quel fruit devons-nous retirer de ce catéchisme ?
    R. C’est de faire chaque jour quelques prières pour les âmes du Purgatoire.

    Abbé Meusy, Catéchisme historique, dogmatique et moral des fêtes principales, Besançon, 1774 – Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts