Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Pèlerinage à Milan et hommage à Mgr Amodeo († 2012)

Giovanni Ambrogio Figino, saint Ambroise expulse les Ariens, 1590Après Tolède en août et Rome en octobre, la Schola Sainte Cécile se déplace cette fois à Milan où elle a été conviée par ses amis milanais à chanter des offices et messes en rit ambrosien traditionnel, dans diverses églises de Milan ou de ses environs, et en particulier au dôme même de Milan (la cathédrale de la ville).

Pour nous, il s’agit de vénérer les reliques de saint Charles Borromée, le grand archevêque champion de la Contre-Réforme catholique, conservées à la crypte de la cathédrale de Milan. Il s’agit aussi d’honorer la mémoire du serviteur de Dieu Mgr Angelo Amodeo (1932 † 2012), chanoine du chapitre métropolitain de Milan, défenseur passionné du rit ambrosien traditionnel, lumineux prêtre d’une grande générosité qui rayonnait la bonté et l’humilité et qui nous avait tant apporté par sa foi et son enthousiasme à chaque fois que nous avons pu chanter sa messe dans le passé.

Nous avions rencontré Mgr Amodeo à Rome en mai 2003 : nous avions en effet alors eut l’honneur de chanter la sainte messe dans le rit ambrosien qu’il célébra pour nous en l’église de la Très-Sainte-Trinité des Pèlerins (qui n’était pas encore affectée à cette époque à la Fraternité Saint-Pierre). Ce fut une belle messe dominicale, recueillie et intime, au lendemain de la messe pontificale triomphale de S.E. le cardinal Castrillón Hoyos, que nous avions chantée la veille en la basilique Sainte-Marie-Majeure.

2010 fut pour la Schola Sainte Cécile l’occasion de retrouver Mgr Amodeo et nos amis milanais à Rome, pour y célébrer les 25 ans du rit traditionnel ambrosien à Milan (la situation sur place à Milan était toujours délicate et difficile à l’époque pour les amis de la Tradition, Rome permettait un déploiement plus grand de cérémonies…). Nous y avions chanté la fête de sainte Catherine de Sienne sur ses reliques à Sainte-Marie sur la Minerve, des vêpres & complies solennelles magnifiques à Saint-André du Quirinal et une messe solennelle à Sainte-Marie-des-Martyrs (le Panthéon). Un CD – O Felix Roma – immortalise ces intenses moments de joies liturgique et spirituelle.

Un après le retour à Dieu de Mgr Amodeo le 14 septembre 2012, notre pèlerinage à Milan de ce week-end du 11 novembre est le moyen de célébrer magnifiquement le vénérable rit milanais, appelé plus couramment rit ambrosien – car c’est le grand évêque saint Ambroise qui l’organisa et le fixa au IVème siècle. Une manière d’indiquer que l’œuvre accomplie par Mgr Amodeo se poursuit aujourd’hui, et même qu’elle devrait connaître bientôt de nouveaux développements…

Pour la Schola Sainte Cécile, c’est une occasion de participer à la symphonie des rits de l’Eglise catholique. On oublie trop souvent que le rit romain n’est qu’un rit parmi la vingtaine actuellement utilisés par notre Eglise ! Un des buts poursuivis par notre Schola consiste justement à revivifier ces traditions négligées, voire oubliées, signes multiples de l’action de l’Esprit Saint dans l’histoire des croyants.

Programme des journées milanaises

Les offices & messes sont tous célébrés dans le vénérable rit ambrosien traditionnel.

Abbatiale de Meda

Samedi 9 novembre 2013 – Abbatiale de Meda

L’ancienne Abbaye Saint-Victor de Meda a été sécularisée lors de l’invasion de la Lombardie par les troupes napoléonniennes. L’Abbaye est depuis dans la famille des comtes Antona Traversi Grismondi, amis de Mgr Amodeo, lesquels nous reçoivent en cette occasion.

  • 12h : matines & laudes des morts pour Mgr Amodeo.
  • Messe solennelle en rit ambrosien de la Dédicace de l’Archibasilique du Saint-Sauveur (Le Latran)
  • Déjeuner dans l’ancien réfectoire abbatial
  • Vêpres des morts pour Mgr Amodeo.

Eglise de Santa Maria Maddalena al Santo Sepolcro - Milan

Dimanche 10 novembre – églises de Milan

  • 10h – Eglise de San Rocco al Gentilino : messe dominicale du IIIème dimanche après la Dédidace (il s’agit ici de la fête de la Dédicace de la Grande Eglise – i.e. de la cathédrale de Milan, qui est suivie dans le rit ambrosien de trois dimanches qui en prolongent la festivité jusqu’au début de l’Avent ambrosien).
  • 16h : Eglise de Santa Maria Maddalena al Santo Sepolcro (église de la fameuse Bibliothèque Ambrosienne, place du Saint-Sépulchre) : vêpres solennelles – complies solennelles – salut du Très-Saint Sacrement.

Le dôme de Milan au petit matin

Lundi 11 novembre – Dôme de Milan

  • 10h : Messe de la fête de saint Martin en la crypte de la cathédrale métropolitaine, & vénération des reliques de saint Charles Borromée. Dans le rit ambrosien, la fête de saint Martin est une fête très solennelle, elle marque par ailleurs le début de la nouvelle année liturgique et commande le commencement de l’Avent (qui démarre toujours le dimanche après saint Martin, ce qui fait que l’Avent ambrosien compte 6 dimanches contrairement à l’Avent romain qui n’en possède que 4).

Programme du XXIVème dimanche après la Pentecôte

4ème dimanche après l'EpiphanieSaint-Eugène, le dimanche 3 novembre 2013, grand’messe de 11h.

Oraisons & lectures reprises du IVème dimanche après l’Epiphanie.
La tempête apaisée.

Lui, cependant, dormait. Mais ils vinrent l’éveiller en disant : ‘Seigneur, sauve nous.’” Nous lisons dans Jonas une figure de ce miracle : alors que tous les autres sont en danger, lui-même dort, tranquille ; on le réveille ; par son ordre et par le signe symbolique de sa passion, il délivre ceux qui l’ont réveillé. “Alors, se levant, il menaça les vents et la mer.” Ce passage nous donne à comprendre que toutes les créatures reconnaissent le Créateur. On les gronde, on leur commande ; elles reconnaissent le maître non parce que toutes choses sont animées, comme le pensent à tort certains hérétiques, mais parce que la majesté du Créateur lui rend sensibles les choses qui pour nous sont insensibles.
Homélie de saint Jérôme, prêtre, VIIIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au troisième nocturne.

Télécharger le livret de cette messe au format PDF.

Programme du XIXème dimanche après la Pentecôte – Saint Hilarion le Grand – ton 2

Saint Hilarion le GrandParoisse catholique russe de la Très-Sainte Trinité, le dimanche 3 novembre 2013 du calendrier grégorien, 21 octobre 2013 du calendrier julien, tierce & sexte à 8h55, divine liturgie de saint Jean Chrysostome à 9h15.

Dimanche du ton II de l’Octoèque. Nous fêtons aussi en ce jour notre vénérable Père saint Hilarion le Grand.

Saint Hilarion le Grand est l’un des disciples de saint Antoine le Grand et l’un des Pères des origines du monachisme au IVème siècle. Sa vie a été écrite par saint Jérôme, qui nous donne de nombreux détails sur les nombreux miracles qu’il opéra.

Hilarion est né de parents païens vers l’an 291 dans le village palestinien de Tabatha, non loin de Gaza. Envoyé à Alexandrie pour y étudier, il y découvre le Christ et demande le baptême. Après avoir entendu un compte rendu de la vie angélique de saint Antoine le Grand, Hilarion se mit quelques mois à son école et devint son disciple. Revenu avec quelques compagnons en sa terre natale pour découvrir que ses parents étaient morts, il distribue son héritage aux pauvres & à ses frères moines et se retire dans le désert près de la ville de Maïouma (le port de Gaza). Il n’était alors âgé que de 15 ans.

Pratiquant des jeunes austère au désert, il triomphe des tourments que les démons tentaient de l’affliger ; on dit de lui qu’il pouvait réciter toute l’Ecriture par cœur. Un jour que des brigands l’abordaient en disant : “Que ferais-tu si des voleurs venaient à toi ?”, il répondit “Un homme qui n’a rien n’a point peur des voleurs.” Ceux-ci renchérirent : “Mais ils te peuvent tuer !” – “Ils le peuvent sans doute, répliqua le saint, mais cela ne fait pas que je les craigne, parce que je suis tout préparé à la mort”. Confondus, les brigands promirent au saint de changer de vie.

A partir de 22 ans, saint Hilarion commença à opérer de nombreux miracles par le nom de Jésus-Christ: il guérit les malades, rend la vue aux aveugles & délivre les possédés du démon. Autour de sa hutte dans le désert de Maïouma se forme une importante communauté monastique et les foules accourent au désert ! Lors des terribles années du règne de Julien l’Apostat, son monastère est ruiné par les habitants de Gaza et commence pour Hilarion une longue pérégrination, initialement pour fuir la persécution des païens, mais aussi pour fuir les foules des fidèles qui cherchent auprès de lui à recevoir miracles & guérison. Le saint se réfugie en Lybie puis en Sicile, en Dalmatie et enfin à Chypre. Il y rendit à Dieu l’esprit, à plus de 80 ans, et ses dernières paroles avant d’expirer furent : “Sors mon âme, que crains-tu ? Sors mon âme, de quoi as-tu peur ? Tu as servi Jésus-Christ près de soixante-dix ans, & tu crains la mort ?”

Il est aussi fêté à la même date du 21 octobre par le rit romain :

En Chypre, l’anniversaire de saint Hilarion, abbé. Saint Jérôme a écrit sa vie pleine de vertus et de miracles.
Martyrologe romain du 21 octobre.

Aux heures
A tierce & à sexte : Tropaire du dimanche. Gloire au Père. Tropaire du vénérable Père. Kondakion : du dimanche.

Tropaires des Béatitudes : six tropaires du ton dominical et 4 tropaires de la 3ème ode du canon du vénérable Père :
1. Reprenant la prière du bon Larron, * ô Christ, nous te disons : * Souviens-toi de nous, Seigneur, ** quand tu entreras dans ton royaume.
2. Ta croix, nous te l’offrons * pour la rémission de nos péchés : * Seigneur, tu l’as supportée ** par amour pour les hommes.
3. Devant ta Sépulture & ta sainte Résurrection, * Maître, nous nous prosternons : * par elles tu rachetas de la corruption, ** Ami des hommes, le monde entier.
4. Seigneur, l’empire de la Mort * par ta mort fut englouti, * & par ta sainte Résurrection, ** Dieu sauveur, tu as sauvé l’univers.
5. Au plus profond de l’Enfer, * lorsqu’ils virent ta clarté, * ceux qui dormaient dans les ténèbres de la mort, * ô Christ, se levèrent, ressuscités.
6. Ressuscité du tombeau, * tu vins au-devant des Myrophores, * et les Disciples reçurent la mission ** de proclamer ta Résurrection.
7. Ayant guéri l’enflure des passions, * bienheureux Hilarion, par ton ascèse continue * tu les fis dépérir en t’écriant : * Nul n’est saint comme toi, ô notre Dieu, ** nul n’est juste comme toi, Seigneur.
8. Avec le glaive de la tempérance tu as déchiré * les tuniques de peau, symboles de la mort * et tu as tissé le vêtement du salut * en disant au Créateur : Tu es mon Dieu, ** nul n’est juste comme toi, Seigneur.
9. Fortifié par l’espérance de l’éternité, * Père théophore, tu fus conduit vers Dieu * par les mains du bienheureux Antoine ; * l’ayant imité, toi-même tu devins un flambeau ** rayonnant de miracles, vénérable Hilarion.
10. Celui qui façonna toute chose par sa seule volonté * a daigné prendre notre forme * et se laisser façonner, divine Mère, dans ton sein ; * nous lui disons : Tu es notre Dieu, ** nul n’est saint comme toi, Seigneur.

A la petite entrée :
1. Tropaire du dimanche, ton 2 : Lorsque tu descendis jusqu’en la mort, * ô Vie immortelle, * l’Enfer fut tué par la splendeur de ta divinité. * Lorsque tu relevas les morts des bas-fonds, * toutes les vertus célestes te clamèrent : * Donateur de vie, Christ Dieu, gloire à toi !
2. Tropaire du vénérable Père, ton 8 : Par les flots de tes larmes tu as fait fleurir le stérile désert, * par tes profonds gémissements tu fis produire à tes peines cent fois plus, * par tes miracles étonnants tu devins un phare éclairant le monde entier: * vénérable Père Hilarion, prie le Christ notre Dieu ** de sauver nos âmes.
3. Gloire au Père, & au Fils, & au Saint-Esprit.
4. Kondakion du vénérable Père, ton 3 : Comme un astre sans déclin, du mystique Soleil * tous ensemble nous, * t’acclamons par des hymnes en ce jour : * sur ceux qui gisaient dans les ténèbres de l’ignorance tu as brillé, * faisant monter vers la hauteur divine les fidèles s’écriant : ** Réjouis-toi, Père Hilarion, en qui les moines ont un appui.
5. Et maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.
6. Kondakion du dimanche, ton 2 : Lorsque tu es ressuscité du tombeau, Sauveur tout-puissant, * l’Enfer à la vue de ce miracle fut saisi de frayeur ; * les morts se sont levés et, te voyant, la création partage ta joie, * Adam s’unit à l’allégresse ; ** et le monde, ô mon Sauveur, te chante pour toujours.

Prokimen
Du dimanche, ton 2 :
℟. Ma force & mon chant, c’est le Seigneur ; il fut pour moi le salut (Psaume 117, 14).
℣. Il m’a châtié et châtié, le Seigneur, mais à la mort il ne m’a point livré (Psaume 117, 18).
Du vénérable Père, ton 7 :
℟. Elle a du prix aux yeux du Seigneur, la mort de ses serviteurs (Psaume 115, 5).

Epîtres
Du dimanche : 2 Corinthiens (§ 194) XI, 31 – XII, 9.
Ma grâce te suffit : car ma puissance éclate davantage dans la faiblesse. Je prendrai donc plaisir à me glorifier dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi.
[Du vénérable Père : 2 Corinthiens (§ 188) IX, 6-11.]

Alleluia
Du dimanche, ton 2 :
℣. Qu’il te réponde, le Seigneur, au jour d’angoisse, qu’il te protège, le nom du Dieu de Jacob ! (Psaume 19, 1).
℣. Seigneur, sauve le roi, & exauce-nous au jour où nous t’invoquons (Psaume 19, 10).
Du vénérable Père :
℣. Heureux l’homme qui craint le Seigneur, et qui a une grande affection pour ses commandements. (Psaume 111, 1)

Evangile
Du dimanche : Luc (§ 83) XVI, 19-31.
Mais Abraham lui répondit : Fils, souvenez-vous que vous avez reçu vos biens dans votre vie, et que Lazare n’y a eu que des maux ; c’est pourquoi il est maintenant dans la consolation, et vous dans les tourments.
[Du vénérable Père : Luc (§ 24) VI, 17-23.]

Verset de communion
Du dimanche : Louez le Seigneur du haut des cieux, louez-le au plus haut des cieux. (Psaume 148, 1).
Du vénérable Père : La mémoire du juste sera éternelle (Psaume 111, 6). Alleluia, alleluia, alleluia.

Commémoraison de tous les fidèles défunts

Messe de funéraillesSaint-Eugène, le samedi 2 novembre 2013, Requiem de 11h.
Répétition pour les choristes à partir de 10h30.

Catéchisme sur le Purgatoire & sur la prière pour les morts

La prière pour les morts existe depuis les premiers temps du christianisme. A côté de la célébration d’offices pour tel et tel défunt se développèrent par la suite des offices célébrés de façon plus générale (en particulier pour tous les bienfaiteurs défunts d’un monastère). Au VIIIème siècle, le monastère de Fulda célébrait chaque mois une commémoraison générale des fidèles défunts. La célébration annuelle de l’office pour tous les fidèles défunts au 2 novembre, au lendemain de la Toussaint remonte à saint Odilon, abbé de Cluny. Celui-ci ordonne par un édit de 998 pour la centaine de monastère de sa congrégation que le 1er novembre, après les vêpres solennelles de la Toussaint, les cloches sonnent le glas funèbre et que les moines célèbrent au chœur l’office des défunts. Le lendemain, tous les prêtres doivent offrir à Dieu le divin sacrifice pro requiem omnium defunctorum. Diffusé dans toute l’Europe par les moines de Cluny, cet usage fut accueilli très vite par des diocèses (dès 1008 pour Liège) et finit par devenir général au XIVème siècle. En raison des ravages causés dans la chrétienté par la Ière guerre mondiale, S.S. le Pape Benoît XV a autorisé tous les prêtres à célébrer le 2 novembre 3 messes pour les défunts, étendant un privilège que le Pape Benoît XIV avait accordé initialement aux états dépendants de la couronne d’Espagne. A cette occasion fut insérée dans le Missel Romain la préface pour les défunts, composition moderne inspirée d’une préface similaire en usage de longue date dans les diocèses français (hélas, de ce vénérable & antique texte, seule la sublime phrase vita mutatur non tollitur a été conservée intacte).

  • Messe de requiem en plain-chant grégorien
  • Procession d’entrée: De profundis parisien – psaume 129 – faux-bourdon attribué à André Campra (1660 † 1744), maître de chapelle de Notre-Dame de Paris et de Louis XV à Versailles
  • Après la Consécration : Pie Jesu (H. 263) de la Messe des Morts à 4 voix (H. 7) de Marc-Antoine Charpentier (1643 † 1704) maître de la musique de Marie de Lorraine, duchesse de Guise, du Dauphin, fils de Louis XIV, & de la Sainte Chapelle
  • Pendant la communion : Miseremini – plainte des âmes du Purgatoires – Texte tiré du livre de Job lu aux matines des défunts (Job XIX, 21 – 3ème nocturne, 8ème leçon) – motet jésuite anonyme du XVIIème siècle
  • Procession de sortie : Languentibus in Purgatorio – prose à la Très-sainte Vierge Marie pour les défunts, composée par Jean de Langoueznou, abbé de Landevenec au XIVème siècle – plain-chant musical en usage dans le diocèse de Coutances
  • Télécharger le livret de cette messe au format PDF.