Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 14 mai 2023, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du Vème dimanche après Pâques. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • En l’honneur de sainte Jeanne d’Arc : Concordent nostris cælica, cantique à Sainte Jeanne d’Arc de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié († 1930)
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 8 mai 2022, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du IVème dimanche après Pâques. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • En l’honneur de sainte Jeanne d’Arc : Concordent nostris cælica, cantique à Sainte Jeanne d’Arc de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié († 1930)
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 9 mai 2021, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du IVème dimanche après Pâques. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • En l’honneur de sainte Jeanne d’Arc : Concordent nostris cælica, cantique à Sainte Jeanne d’Arc de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié († 1930)
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 10 mai 2020, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du IVème dimanche après Pâques. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • En l’honneur de sainte Jeanne d’Arc : Concordent nostris cælica, cantique à Sainte Jeanne d’Arc de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié († 1930)
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 12 mai 2019, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

A la sainte messe :

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du dimanche dans l’octave de l’Ascension. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • En l’honneur de sainte Jeanne d’Arc : Concordent nostris cælica, cantique à Sainte Jeanne d’Arc de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié († 1930)
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 13 mai 2018, grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du dimanche dans l’octave de l’Ascension. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme : confirmations & solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

Saint-Eugène, le dimanche 14 mai 2017, sacrement de confirmation puis grand’messe en rit romain traditionnel de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h45.

Cette année une trentaine de fidèles recevront dans notre paroisse le sacrement de la confirmation dans la forme traditionnelle.

Ce sacrement fait, entre autres effets, du chrétien un soldat du Christ (le cérémonial latin ayant incorporé en effet depuis le Moyen-Age certains aspects de la cérémonie de l’adoubement des chevaliers). Aussi, la coïncidence cette année avec la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne de la France (solennité fixée au second dimanche de mai), est-elle particulièrement heureuse.

Le sacrement de la confirmation

La France Délivrée par sainte Jeanne d'Arc

Jeanne d’Arc est née à Domrémy, autrefois du diocèse de Toul, maintenant de Saint-Dié, de parents remarquables par leur foi et l’intégrité de leurs mœurs, en 1412. Elle avait à peine treize ans et ne connaissait que les occupations du foyer, le travail des champs et les premiers éléments de la religion, quand elle fut avertie qu’elle était choisie par Dieu pour délivrer la France et la rendre à l’ancienne autorité royale. Après que, pendant cinq ans, l’Archange saint Michel et les saintes vierges Catherine et Marguerite, dont elle recevait de fréquentes visites, lui eurent appris comment elle exécuterait ce qui lui était ordonné, elle reconnut qu’elle devait obéir à Dieu. Elle demanda au gouverneur de Vaucouleurs et, après quelques refus, en obtint des hommes qui devaient la conduire au roi Charles.
IVème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Obéissant aux avertissements divins, après avoir surmonté les difficultés d’un long voyage, elle arriva au château de Chinon, en Touraine, et, ayant convaincu le roi Charles de la vérité de sa mission divine, elle partit pour Orléans. En peu de jours, par un terrible assaut, elle infligea trois défaites aux ennemis, prit leurs places fortes et fit triompher son étendard. De là, après quelques faits de guerre où le secours de Dieu se manifesta de façon merveilleuse, elle conduisit Charles à Reims pour y recevoir l’onction du sacre royal. Elle ne pensa pas pour autant qu’elle devait se reposer ; mais comme elle avait reçu du ciel l’annonce que, par la permission de Dieu, elle devait tomber au pouvoir de l’ennemi, elle accepta de bon cœur ce qui devait nécessairement arriver.
Vème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

Jeanne, faite prisonnière à Compiègne, vendue aux ennemis, bientôt conduite à Rouen, y fut traduite en jugement et accusée de toutes sortes de crimes, sauf de fautes contre la chasteté. Pour Jésus, elle supporta tout avec patience. Le procès ayant été conduit par des juges très corrompus, la vierge innocente et douce fut condamnée à la peine du feu. Ayant donc reçu le réconfort de la sainte Eucharistie qu’elle avait désirée si longtemps, les yeux tournés vers la croix et répétant très souvent le nom de Jésus, elle s’envola au ciel, le 30 mai, n’ayant pas encore accompli sa vingtième année. L’Église Romaine, qu’elle avait toujours aimée et à qui elle en avait souvent appelé, prit soin de la justifier de tout crime, sous le pontificat de Calixte III. Vers la fin du dix-neuvième siècle, Léon XIII permit d’introduire la cause de la Pucelle d’Orléans. Puis le Souverain Pontife Pie X la mit au rang des Bienheureuses, et Benoît XV au nombre des saintes Vierges. Enfin Pie XI, accédant aux vœux des évêques français, la déclara et institua patronne secondaire de la France, après la Très Sainte Vierge en son Assomption.
VIème leçon des vigiles nocturnes de ce dimanche, au second nocturne.

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du IVème dimanche après Pâques. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

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Programme de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France

La France Délivrée par sainte Jeanne d'ArcSaint-Eugène, le dimanche 8 mai 2016, grand’messe de 11h. Secondes vêpres & salut du Très-Saint Sacrement à 17h30.

IIndes vêpres de la solennité de sainte Jeanne d’Arc, avec mémoire du dimanche dans l’octave de l’Ascension. Au salut du Très-Saint Sacrement :

  • Motet d’exposition : O salutaris de l’Abbé du Gué, maître de chapelle de Saint-Germain-L’Auxerrois (1768 -1780) puis de Notre-Dame de Paris (1780 – 1790)
  • A la Bienheureuse Vierge Marie : Regina cœli, du VIème ton
  • Prière pour Notre Saint Père le Pape : Oremus pro Pontifice nostro du VIème ton, pour le Temps pascal.
  • A la bénédiction du Très-Saint Sacrement : Tantum ergo du IIIème ton
  • Chant d’action de grâces : Adoremus in æternum – Psaume XVI – plain-chant du XVIIIème siècle

Organiste invité : Me Vincent Grappy, organiste de la cathédrale de Blois.

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Enregistrement : solennité de sainte Jeanne d’Arc

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Téléchargez les partitions chantées au cours de cette messe & présentes dans cet enregistrement :

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Sainte Jeanne d'Arc, patronne secondaire de la France