Vêpres stationnales de Pâques – les chantres en aubes parées
Vêpres stationnales de Pâques – les chantres en aubes parées chantent l’Hæc dies, l’Alleluia et le Victimæ paschali laudes
Vêpres stationnales de Pâques – procession avec le cierge pascal
Vêpres stationnales de Pâques – procession au baptistère
Vêpres stationnales de Pâques – procession au baptistère
Vêpres stationnales de Pâques – procession au baptistère
Vêpres stationnales de Pâques – procession à la Croix
Vêpres stationnales de Pâques – station à la Croix
Vêpres stationnales de Pâques – station à la Croix
Vêpres stationnales de Pâques – station à la Croix
Vêpres stationnales de Pâques – salut du Très-Saint Sacrement
Vêpres stationnales de Pâques – salut du Très-Saint Sacrement
Vêpres stationnales de Pâques – à la sacristie après la cérémonie
Le Christ étant ressuscité d’entre les morts ne mourra plus, et la mort n’aura plus d’empire sur lui. Car quant à ce qu’il est mort, il est mort seulement une fois pour le péché ; mais quant à la vie qu’il a maintenant, il vit pour Dieu, alléluia.
℟. Celui que vous cherchez qui était mort, désormais est vivant,
et la vie des hommes est ressuscitée avec lui, alléluia.
V. Louez celui qui a été crucifié dans la chair,
et glorifiez celui qui a été mis dans le sépulchre pour vous,
& adorez le ressuscité d’entre les morts. * Alléluia
Je suis, moi, * l’Alpha & l’Oméga, le premier et le dernier, le commencement & la fin, celui qui est avant le début du monde, et dans les siècles des siècles, je vis à jamais. Je suis mort & fut enseveli, je suis ressuscité, je suis avec vous ; voyez, car c’est bien moi, et il n’y a d’autre Dieu que moi, * alléluia. ℣. Je suis, moi, votre rédemption, je suis, moi, votre Roi, je vous ressusciterai, moi, au dernier jour, * alléluia.
Classée parfois comme prose ou séquence (mais le même chant n’est pas repris par paire de versets), cette pièce – qui apparaît plutôt comme une grande antienne processionnelle (lesquelles se chantent traditionnellement à deux chœurs) – remonte à la piété du XIVème. Son texte est inspiré du Cantique des Cantiques. Le chant ci-dessus est tiré du propre de Paris (“Offices propres du diocèse de Paris approuvés par Sa Sainteté le Pape Pie XI et publiés par ordre de Son Eminence le Cardinal Dubois, archevêque de Paris – Appendice au propre de Paris pour l’Antiphonaire – Chants pour les saluts et processions”, Société Saint Jean l’Evangéliste, Desclée & Cie, Paris – Tournai – Rome, 1923).
En voici le texte et la traduction :
Tota pulchra es, María ! Et mácula originális non est in te. Tu, glória Jerúsalem. Tu, lætítia Israel. Tu, honorificéntia pópuli nostri. Tu, advocáta peccatórum. O María ! Virgo prudentíssima ! Mater clementíssima ! Ora pro nobis. Intercéde pro nobis * ad Dóminum Jesum Christum.
Vous êtes toute belle, Marie ! et la tache originelle n’est point en vous. Vous êtes la gloire de Jérusalem. Vous êtes la joie d’Israël. Vous êtes l’honneur de notre peuple. Vous êtes l’avocate des pécheurs. O Marie ! Vierge très prudente ! Mère très clémente ! Priez pour nous. Intercédez pour nous auprès du Seigneur Jésus-Christ.